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Les actus

  • Fête foraine

    • Le 10/08/2018
    • Dans infos

    en octobre 2018

    Fête foraine

    la nouvelle création de l'Atelier Théâtre des Oiseaux

     

    dessin Elodie BlauwartOctobre 1988 : le comité des fêtes de Montigny-la-Ducasse est sur le pied de guerre. C'est la grande foire annuelle. Comme le veut la tradition, la place du village se transforme le temps d’un weekend en un véritable parc d’attraction avec ses manèges traditionnels : pêche aux canards, autos-scooters, tir à pipes, chevaux de bois, marchand de barbe-à-papa, train fantôme… Les gens viendront des villages voisins - et même de Kermesse-la-Ville ! - pour participer aux festivités. D’autant plus que cette année, la presse locale a annoncé l’installation d’une attraction formidable, La Balançoire diabolique, un bras mécanique titanesque qui entraînera les plus téméraires à près de 40 mètres de haut.

    C’est un beau vendredi d’automne, Il est bientôt midi. La cérémonie d'inauguration n’aura lieu qu’en début de soirée et on attend la célèbre chanteuse Mælody. Mais déjà, quelques forains sont à pied-d’œuvre pour accueillir les badauds qui déambulent. Et soudain, patatras ! La Balançoire se détraque, retenant une poignée d'otages suspendus à plusieurs dizaines de mètres au-dessus du sol. Au même moment - et sans qu’on sache si les deux événements sont liés -, une flopée de canards en plastique sont portés disparus… Décidément, quand ça foire, ça foire !

     

    Fete foraine

     

    Après Montigny-les-Deux-Platanes (2016), Cappadoce et La Gazette du bon Dieu (2017), La Grande Tourterie (mars 2018), Fête foraine est la nouvelle comédie de l’Atelier Théâtre des Oiseaux. Un grand spectacle de théâtre amateur espiègle et rocambolesque, avec plus de vingt comédiens sur scène ! Rendez-vous le weekend des 5, 6 et 7 octobre prochain à la Maison de quartier de Mons. 

    Spectacle écrit et mis en scène par Jérémie Brasseur ; interprété par Catherine Beerens, Cécile Biefnot, Isabelle Blanquet, Elodie Blauwart, Céline Brasseur, Roberto Carbone, Joseph Cau, Jossia Collard, Mélissa Copenaut, David Courselles, Chiara Cristelli, Marc Delvigne, Fanny Duray, Marie-Bérengère Etienne, Nadège Florin, Jean-Pascal Giacometti, Nathalie Mauroy, Nathalie Nihoul, AR, Catherine s’Heeren, Olivier Vandernoot, Sandrine Vansnick

     

  • septembre – nouvel atelier

    • Le 03/08/2018
    • Dans infos

    Lancez-vous dans la grande aventure !

    Le 4 septembre, l’atelier initiation ouvre sa douzième promotion.

     

    atelier theatre sept2018

  • Saison 17-18 – beau boulot

    • Le 01/06/2018
    • Dans infos

    On a bien boulotté, cette saison ! Deux pièces et deux cafés-théâtres, plus une animation chez Hainaut Sport. Refaisons le tour de cette belle année pour le plaisir de parcourir une fois encore quelques photos souvenirs. Voici notre petite rétrospective de la saison écoulée.

    Blog 20180601Fin septembre, l’atelier initiation a ouvert sa dixième promotion. Les rencontres se sont déroulées tous les mardis jusqu’au spectacle, en mai 2018. En novembre, l’Atelier Théâtre des Oiseaux a créé sa troisième pièce, une comédie en trois actes emmenant le public dans les locaux de La Gazette du bon Dieu. En décembre, la promotion 9 de l’atelier initiation a présenté son spectacle Faut te Faire un Dessin, un florilège de sketchs loufoques et colorés… En février 2018, la nouvelle promotion de l’atelier initiation – la onzième – a une nouvelle fois suscité beaucoup d'intérêt : plus d'une vingtaine de personnes se sont montrées désireuses de découvrir notre atelier théâtre. Les rencontres se poursuivront tous les jeudis jusqu’en décembre. En mars, l’Atelier a créé sa quatrième pièce de théâtre, La Grande Tourterie, une fable racontant les tribulations d’une adorable statuette, Saint-Calao, qui passe de main en main, illuminant de son rictus l'existence des habitants de Montigny-les-Oiseaux. Ce spectacle relevait le défi de rassembler sur scène deux équipes : l’une chargée de la première partie du spectacle, composée de sketchs, et l’autre celle de la seconde, une courte pièce en quinze tableaux. Quelques jours avant le spectacle, la troupe a bénéficié du coaching de la comédienne et metteure en scène professionnelle, Caroline Bogaert, lors d’une rencontre sympathique et instructive. En avril, quelques membres de l'ATO sont allés partager leur passion pour le théâtre amateur avec les jeunes en stage chez Hainaut Sport. Une belle matinée émaillée de rires et de jeux. En mai, la promotion 10 de l’atelier initiation a présenté son spectacle Comptines bancales, riche en personnages farfelus et en situations délirantes.

    Que de souvenirs ! Que de belles photos classées dans nos albums. On se remémore les bravos et les fous-rires de la saison écoulée et on laisse mûrir les projets à venir. Car les envies ne manquent pas. Début septembre 2018, l’ATO ouvrira la douzième promotion de son atelier d'initiation au théâtre amateur. En octobre, la troupe présentera sa nouvelle création, Fête foraine. En décembre, ce sera le café-théâtre de fin d’année de la promotion 11. Et puis, pour 2019, on a déjà quelques petites choses dans nos cartons mais c’est encore un peu tôt pour en parler… On vous dira tout plus tard.

    La Gazette du bon Dieufaut te faire un dessinLa grande TourterieAto mai2018 comptines bancales

  • Comptines - chanson

    • Le 25/05/2018
    • Dans infos

     

    Après son spectacle Comptines bancales, la promotion 10 de l'atelier (saison 2017-2018) a clôturé son année d'initiation par une grande fête. Histoire de se rappeler les moments forts de cette aventure... et de pousser la chansonnette ! Le résultat était bluffant : cette équipe-là a peut-être un bel avenir dans la comédie musicale. 

    Le groupe s'était choisi un cri de guerre : "Groupe 10 : j'ai une tringle !" (Si quelque chose vous échappe, rien d'anormal ; de notre côté nous n'avons pas encore bien compris non plus.) Voilà pourquoi la chanson s'intitule : Salut bande de tringlés... Les paroles ci-dessous ont été écrites par Marc Delvigne. Quant à la musique, elle est empruntée au générique de Biouman, la parodie des Inconnus. Comme ça, vous savez tout : vous pouvez chanter chez vous, devant votre ordinateur ou votre smartphone.

    De tout cœur, un grand merci au groupe 10 pour cet inoubliable feu d'artifice final !

     

    Salut bande de tringlés !Final ato groupe10
    C’est super tous les mardis !
    Qu’est-ce qu’on s’amuse... à l’atelier
    De Sandrine et Jérémie !
     
    Moi j’aime bien me déguiser
    En clown ou en p’tite poupée
    J’ fais plein de répliques, regard public 
    Sinon gare à Jérémie !
     
    T’ oublies l’ tonus vocal, et tout devient bancal 
    Tu vas te ramasser en répèt générale
     
    C’était trois super soirées !
    Un spectacle déjanté 
    Public conquis, bravo les amis 
    Et merci à Jérémie !
     
    Salut bande de tringlés !
    C'est super tous les mardis !
    Qu’est-ce qu’on s’amuse... à l’atelier
    de Sandrine et Jérémie !
     
    Marc Delvigne, mai 2018
    clôture du groupe 10 / ATO saison 2017-2018
     

  • Comptines - programme

    • Le 18/05/2018
    • Dans infos

     

    Comptines bancales

    Demandez le programme !

     

    Ato mai2018 comptines bancales

    Demandez le programme de notre nouveau spectacle Comptines bancales... Ou plutôt servez-vous. Vous pouvez le télécharger  - tout en couleur ! - sur notre page Nos spectacles.

    L'accès rapide ? C'est par ici.

    Ato groupe10

    Comptines bancales, café-théâtre de l'atelier initiation au théâtre (promotion 2017-2018) à la Maison de Quartier de Mons / mai 2018 : vendredi 18 (20h), samedi 19 (20h) et dimanche 20 (17h) / avec Catherine Beerens, Cécile Biefnot, Elodie Blauwart, Céline Brasseur, Jossia Collard, Sébastien Corso, David Courselles, Xavier Daffe, Marc Delvigne, Fanny Duray, Amandine Rzonca, Catherine s’Heeren, Sandrine Vansnick / textes de Catherine Beerens, Cécile Biefnot, Elodie Blauwart, Céline Brasseur, Jossia Collard, Xavier Daffe, Marc Delvigne, Fanny Duray, AR, Catherine s’Heeren, Gina Zicari / adaptation des textes : Jérémie Brasseur / mise en scène : Jérémie Brasseur et Sandrine Vansnick / affiche : Emmanuel Poncin

     

  • Comptines - Sandrine & Jérémie

    • Le 11/05/2018
    • Dans infos

    Comptines bancales / interview -7

    Sandrine & Jérémie

    Comptines bancales Sandy et JeyOn peut compter sur nos doigts les jours qui nous séparent encore du spectacle Comptines Bancales (café-théâtre de la promotion 10 / saison 2017-2018). Inutile de préciser que le stress monte… l’impatience de rencontrer le public aussi ! Cette semaine, on donne la parole au duo de metteurs en scène : Sandrine Vansnick et Jérémie Brasseur. Si Jérémie retrouve pour ce spectacle le rôle de régisseur, Sandrine reprend quelques rôles au pied levé.

     

    Comptines bancales est donc le dixième spectacle créé par l’ATO dans le cadre de son atelier d’initiation au théâtre amateur…

    Sandrine : Eh oui, le dixième déjà ! Et la quinzième création de l’Atelier Théâtre des Oiseaux.

    Jérémie : Quand on a monté Les MonsQuetaires en mai 2013 avec notre tout premier groupe, on était loin d’imaginer la manière dont l’atelier se développerait.

    Qu’est-ce qui a changé depuis le premier groupe ?

    Jérémie : Enormément de choses. Parce que notre vision du théâtre amateur a fort évolué. Les deux premières années, j’envisageais encore l’atelier comme un parcours d’apprentissage. Avec quelque chose de très scolaire. D’ailleurs, avec les participants du premier groupe, nous nous sommes vouvoyés jusqu’au spectacle ; j’avais créé un mini syllabus avec des exercices de diction et des textes de référence ; je préparais minutieusement des petites leçons d’histoire du théâtre… Sandrine se foutait de moi.

    Sandrine : Oui, c’était très ampoulé. On sentait le prof de français qui reprenait le dessus. Heureusement, malgré ces ‘erreurs de jeunesse’, l’ambiance était déjà bon enfant.

    Jérémie : Avec le troisième groupe, celui qui a monté Le Pactole en décembre 2014, j’ai pris conscience que les participants attendaient autre chose…

    Sandrine : Le théâtre amateur a beaucoup mieux à offrir quand on envisage les choses comme une grande aventure où l’on va s’embarquer ensemble, expérimenter, chercher, inventer… et surtout s’amuser !

    En quoi le spectacle Comptines bancales se distingue-t-il des précédents ?

    Sandrine : Les participants ont choisi deux thèmes. C’est comme s’il y avait deux spectacles en un seul. Le premier sur le thème des comptines de notre enfance et le second sur le thème des bancs.

    Jérémie : C’est intéressant de voir comment les deux parties se répondent. Les deux randonneuses qui ouvrent la seconde partie (Banc réservé) rappellent les deux randonneuses qui ont clôturé la première (Promenons-nous dans les bois). Le duo de clowns de Banc pliable fait écho au duo de marionnettes de la première partie (Ainsi font, font, font…). Avec Une souris verte et Le Monstre, on visite deux fois le tribunal… Il y a comme ça des motifs qui reviennent, déclinés en variations. Ça donne à l’ensemble un côté très ludique que j’aime beaucoup.

    Sandrine : Il faut ajouter que sur ce spectacle, c’est la première fois que les comédiens ont eux-mêmes écrit tous les sketchs. Tous ! C’est une belle réussite. On a toujours voulu encourager la créativité, notamment dans l’écriture. Ça a commencé timidement, avec quelques textes créés par l’un ou l’autre comédien plus entreprenant ; Jérémie fournissait le reste. Ces derniers temps, les participants sont de plus en plus nombreux à se lancer dans le défi de l’écriture.

    Jérémie : Oui, c’est génial ! On voudrait que le théâtre amateur ne soit pas une pâle copie du théâtre professionnel ; il faudrait qu’il développe sa propre identité. Mais pour ça, je suis convaincu que les amateurs doivent créer des spectacles faits maison sur mesure et ne soient pas toujours en train de ‘pomper’ dans le répertoire des professionnels.

    L’aventure de la promotion 10 a commencé en septembre 2017 ; le groupe était complet avec 21 inscrits. Finalement, il ne reste que douze participants au moment de monter sur scène. Comme on dit : beaucoup d’appelés mais peu d’élus ?

    Jérémie : Non, ce n’est pas une question de sélection. On fait le maximum pour que tous puissent faire l’expérience de la scène. L’horaire est le plus léger possible (avec une rencontre hebdomadaire d’une heure et demie) et nous sommes très fiers d’avoir monté des spectacles avec des comédiens qui étaient au départ très réticents : certains se posaient des questions parce que le français n’était pas leur langue maternelle, d’autres avaient des difficultés de mémorisation, une mobilité restreinte ou de grandes peurs à surmonter…

    Sandrine : On s’est toujours dit que l’atelier devait accueillir tous ceux qui souhaitaient voir ce que le théâtre pouvait leur apporter. (Personnellement, ça m’apporte beaucoup et je ne peux plus m’en passer.) Lorsqu’un nouveau groupe commence, il y a donc des gens qui viennent un peu par curiosité… et quelquefois, franchement par hasard. Ils ne savent pas à quoi s’attendre, ils voient comment fonctionne une séance d’atelier et certains décident de s’orienter vers une autre activité : il en faut pour tous les goûts. Pour d’autres, c’est différent : ils sont malheureusement obligés d’abandonner l’aventure en cours de route pour des raisons familiales, professionnelles ou à cause de problèmes de santé, par exemple… mais ce n’est peut-être que partie remise, des fois il faut attendre un moment plus opportun.

    Jérémie : L’équipe garde des tas de chouettes souvenirs partagés avec ceux qui ont fait un bout de chemin avec nous. Même s’ils ne sont pas physiquement sur scène, ils font quand même partie du spectacle : leur personnalité, leur créativité, les liens d’amitié qui se sont noués, tout ça a nourri le spectacle au cours de son élaboration. On ne les oublie pas et on espère qu’ils nous rejoindront plus tard pour vivre ensemble de nouvelles aventures.

     

    Sandy et jey

  • Comptines - Catherine / Marc

    • Le 27/04/2018
    • Dans infos

    Comptines bancales / interviews croisées -5

    Catherine - Marc

    Comptines bancales / Catherine et MarcLe weekend des 18, 19 et 20 mai prochain, la dixième promotion de notre atelier d’initiation présentera au public son spectacle Comptines bancales. Contrairement à ce que le titre semble indiquer, ce café-théâtre repose sur deux pieds fièrement campés : l’un repose sur le thème des bancs, l’autre sur le thème des comptines. Sur scène, une douzaine de comédiens présenteront une vingtaine de sketchs écrits et mis en scène au cours de nos séances hebdomadaires. L’occasion pour le public de venir applaudir de nouveaux talents et de s’amuser aux histoires loufoques – voire franchement déjantées – imaginées par ce groupe décidément plein de charme et de personnalité. Durant les mois d’avril et de mai, on vous présente, deux par deux, les protagonistes de cette nouvelle aventure de l’Atelier Théâtre des Oiseaux. Et voici cette semaine Catherine s’Heeren et Marc Delvigne.

    Aviez-vous déjà fait du théâtre auparavant ?

    Catherine : Une seule fois, on était en 6e primaire et on avait joué un passage du Malade imaginaire de Molière... Un bon souvenir !

    Marc : J'ai fait du théâtre dès l'âge de 15 ans à l'école secondaire (j'y ai d'ailleurs eu entre autres comme partenaires de scène un certain Jérémie B. et une certaine Céline B.). J'ai joué dans trois pièces de théâtre (une révélation pour moi !) avant de faire une pause de 15 ans. En 2010, j'ai participé à un atelier théâtre adulte mais ce fut une expérience d'un an seulement.

    Qu'est-ce que vous avez envie de partager avec le public en montant sur scène?

    Marc : Le rire, avant tout ! Le rire est le meilleur médicament au monde pour guérir et oublier les soucis du quotidien. Si, pendant deux heures, on arrive à faire oublier aux spectateurs leurs taxes, leurs factures en retard et leurs problèmes d'éviers bouchés, on aura gagné notre pari !

    Catherine : J’espère qu’on partagera avec le public notre bonne humeur, notre joie d’être là… notre esprit d’équipe. Je ne m'attendais pas à ce que cette aventure m’apporte autant de rires et surtout de bons souvenirs entre nouveaux amis… et puis cela nous pousse à nous découvrir un peu plus.

    Quelle est la comptine traditionnelle qui vous laisse le souvenir le plus marquant?

    Catherine : La souris verte. On chantait ça avec mes frères et sœurs quand on était petits.

    Marc : Sans hésiter, Maman les p'tits bateaux ! Cette maman qui explique que les bateaux ont des jambes me faisait toujours éclater de rire. Je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer un bateau qui entrait en mer en marchant. J'en ris presque encore aujourd'hui en y repensant.

    Parmi les personnages chantés dans les comptines, lequel mériterait une médaille selon vous ?

    Marc : Les petites marionnettes, bien sûr ! Non seulement parce qu'elles savent faire "trois petits tours" comme personne mais aussi parce que j'ai toujours eu de l'affection pour les marionnettes. L'effet Tatayet certainement ! J'aurais d'ailleurs adoré être ventriloque et faire raconter à ma marionnette plein d'histoires empreintes d'espièglerie ! Qui sait, peut-être un jour… s'il y a un prof de ventriloquie dans la salle, qu'il se manifeste !

    Catherine : J’attribuerais la médaille du courage au petit homme de Pirouette cacahuète. Il chute, il se casse le bout du nez, et boum ! on le lui rafistole avec un fil doré sans lui demander son avis. Blague à part, c’est la chanson que mon petit bonhomme et moi, nous chantons souvent ; alors elle est un peu spéciale parce que lui aussi, c’est un petit bonhomme avec beaucoup de courage !

    Comptines bancales / Céline et Catherine SComptines bancales / Céline et Catherine S

    Comptines - Elodie / MarcComptines bancales / Elodie et Marc

  • Comptines - Fanny / Sébastien

    • Le 20/04/2018
    • Dans infos

    Comptines bancales / interviews croisées -4

    Fanny - Sébastien

    Comptines bancales / Sébastien et FannyLe weekend des 18, 19 et 20 mai prochain, la dixième promotion de notre atelier d’initiation présentera au public son spectacle Comptines bancales. Contrairement à ce que le titre semble indiquer, ce café-théâtre repose sur deux pieds fièrement campés : l’un repose sur le thème des bancs, l’autre sur le thème des comptines. Sur scène, une douzaine de comédiens présenteront une vingtaine de sketchs écrits et mis en scène au cours de nos séances hebdomadaires. L’occasion pour le public de venir applaudir de nouveaux talents et de s’amuser aux histoires loufoques – voire franchement déjantées – imaginées par ce groupe décidément plein de charme et de personnalité. Durant les mois d’avril et de mai, on vous présente, deux par deux, les protagonistes de cette nouvelle aventure de l’Atelier Théâtre des Oiseaux. Et voici cette semaine  Fanny Duray et Sébastien Corso.

    Aviez-vous déjà fait du théâtre auparavant ?

    Fanny : Mon amour pour le théâtre s’est révélé lorsqu’en 3e secondaire, notre professeur de français nous a mis au défi d’apprendre puis d’interpréter, sur scène, le monologue de L’Avare de Molière ainsi que La partie de cartes de Marcel Pagnol. Je répétais dans mon jardin le monologue d’Harpagon et m’exerçait à l’accent marseillais pour camper le rôle de Panisse. Et… j’y ai pris goût !

    Sébastien : Passionné d'arts, j'ai déjà pu me confronter au plaisir des arts de scène au travers du monde de la musique par le biais de mes études au Conservatoire Royal de Mons. Toutefois, cette expérience théâtrale est la première.

    Qu'est-ce que vous avez envie de partager avec le public en montant sur scène?

    Sébastien : L'immersion, pendant le temps de quelques sketches, dans une ambiance drôle et passionnée. Je ne m'attendais pas à ce que cette aventure soit, au fil des semaines, toujours plus diversifiée et enrichissante.

    Fanny : Au départ, nous n’étions qu’un groupe d’inconnus se réunissant le mardi soir pour s’essayer au théâtre. Puis, au fil des ateliers, nous sommes devenus une team, une belle bande de copains. Nous avons appris à nous connaître, nous avons développé un esprit de troupe. Autant dire qu’avec le groupe 10, le mardi, tout est permis ! A la clé : fous rires, émotions et beaux souvenirs.

    Quelle est la comptine qui vous laisse le souvenir le plus marquant?

    Fanny : La comptine que j’aimais que l’on me chante c’est Dans sa maison, un grand cerf car ma maman me faisait le privilège de la chanter avec la chorégraphie qui va avec !

    Sébastien : Henri Dès – On ne verra jamais. La première comptine, mémorisée et chantée devant tous mes camarades de classe.

    Parmi les personnages chantés dans les comptines, lequel mériterait une médaille selon vous ?

    Sébastien : Cadet Rousselle mériterait la médaille de l'enthousiasme. Il vit avec détermination dans ses choix. Énergie et passion : la recette, selon moi, pour une vie haute en couleur.

    Fanny : Ce n’est sans doute pas la plus connue des comptines traditionnelles, mais je décernerais la médaille d’or du plus grand athlète au Furet du bois joli. Eh bien oui, il court, il court, le furet, le furet du bois joli ! Cela ferait certainement de lui un adversaire redoutable aux 20 km de Bruxelles !

    Comptines bancales / Catherine et SébastienComptines bancales / Catherine S et Sébastien

    Comptines bancales / Marc et FannyComptines bancales / Marc et Fanny

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