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Les actus

  • Pool-Party - Sophie Maes

    Pool-Party - contribution de Sophie Maes

     

    Restons créatifs cet été. À partir d'un fait divers, les comédiens de l'ATO ont improvisé des saynètes racontant les péripéties d'un nageur à la dérive.

     

    POOL PARTY : Chez les Chousse-Mafouille (Sophie Maes)

    Sophie MaesDimanche 24 mai, 22h28, quelques minutes plus tard

    Les Chousse-Mafouille, un couple de septuagénaires, locataires du dessous

    Madame chante We Will Rock You pour donner du pep à son mari. Elle lui montre les mouvements. – Allez, Maurice, on lâche rien ! Pense à bien respirer.

    Monsieur – J’en peux plus de tes séances de sport ! Tu n'y rentreras jamais plus dans ce foutu bikini, tu n'as plus vingt ans ! Et puis arrête de chanter : c'est un vrai supplice !

    Madame, l'air combatif. – Oh si, j'y arriverai ! (Elle se met de nouveau à chanter.) « Son petit itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini / Qu'elle mettait pour la première fois / Un itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini / Un bikini rouge et jaune à petits pois… » Allez, Maurice, on y va ! (Elle se met à chanter Eye of The Tiger.) Chante avec moi.

    Maurice Chousse-Mafouille fredonne sans aucune conviction. Il s’arrête, regarde le plafond, tend la main et reçoit une goutte d'eau provenant du plafond.

    Monsieur. – Oh mais il pleut ! Il pleut dans l'appartement !!!

    Madame. – Oh, il pleut ! (Elle prend la main tendue de son mari et l’entraîne danser.) « I'm singing in the rain, just singin' in the rain / What a glorious feeling, I'm happy again… »

    Monsieur – Je ne plaisante pas, il pleut vraiment ! Regarde !

    Madame, constatant la fuite. – Mais oui ! il pleut ! Fichue météo ! Ils avaient pourtant prévu un ciel bien dégagé pour aujourd'hui.

    Monsieur – Pas de chance : ma partie de pêche va être annulée ! Je te l'ai pourtant assez répété : « Arrête de chanter, il va pleuvoir ! »

    Sophie Maes - juillet 2020

     

  • Pool-Party - création théâtrale

    Pool-Party dans la Marne

     

    Restons créatifs cet été. À partir d'un fait divers, les comédiens de l'ATO ont improvisé des saynètes racontant les péripéties d'un nageur à la dérive. (écriture : Jérémie Brasseur)

     

    INTRODUTION Pool-Party dans la Marne

    Lundi 25 mai, 7h30

    L’animateur-radio et le chroniqueur, dans leur studio vers la fin du bulletin d’information

    L’animateur de France Bleu Champagne Ardenne. – … Et puis, ce drame social la nuit dernière en Châlons-en-Champagne…

    Le chroniqueur. – Oui, Boris. Il était près de 23 heures lorsque les forces de l’ordre sont intervenues au quatrième étage d’un immeuble à Saint-Memmie.

    L’animateur. – Une petite commune pourtant sans histoire !

    Le chroniqueur. – En effet, Boris. La Police explique avoir reçu un coup de fil désemparé de la part d’un couple résidant au troisième étage de l’immeuble. Ce couple avait constaté des infiltrations d’eau au niveau de leur plafond.

    L’animateur. – Et dites-nous, mon cher Bernard : la vaillante Police châlonnaise a-t-elle pu venir à bout de cette intrusion aquatique ?

    Le chroniqueur. – Eh bien, il s’est avéré que les voisins du dessus, deux jeunes colocataires, s’étaient bricolé une piscine au beau milieu du séjour en vue de faire la fête. Une ‘Pool-Party’ à laquelle ils avaient même conviés quelques amis.

    L’animateur. – Une initiative conviviale, certes ! mais discutable quand on loge au quatrième.

    Le chroniqueur. – Je vous l’accorde. Plusieurs invités ont pris la poudre d’escampette à l’arrivée de la police.

    L’animateur. – Merci, Bernard. Ajoutons que les pompiers ont été mobilisés pour vider la piscine – une piscine de trois mètres de long – car les tonnes d’eau menaçaient la stabilité du bâtiment.

    (d’après un fait divers publié par France TV Info, le 25 mai 2020)

     

    POOL PARTY : Un nageur au bord du suicide

    Samedi 16 mai, neuf jours plus tôt

    Thibaut et Nathan, les deux colocataires, dans leur appartement

    Nathan. – Bon Dieu, Thibaut, qu’est-ce que tu fous avec la tête là-dedans ?!

    Thibaut. – J’en peux plus, Nathan ! Tu m’entends ? J’en peux plus. Pardonne-moi : ferme la porte en sortant, j’allume le gaz.

    Nathan. – Arrête tes conneries, Thibaut : t’es dans la machine à laver, là !... Écoute ! après ton suicide médicamenteux, t’avais promis d’arrêter. Quand même ! t’as avalé trois cents grammes de laxatif et t’es toujours là. C'est un signe, merde ! T’as pas encore compris ? T’es pas doué pour les suicides.

    Thibaut. – C’est trop dur ; tu ne te rends pas compte ! Je viens juste de créer une technique de nage révolutionnaire : la brasse dorsale coulée-touchée. Et depuis ce foutu confinement, impossible d’aller à la piscine tester mon invention de génie !

    Nathan. – Chiale pas, Thibaut ; s'il te plaît, chiale pas : tu vas réveiller Chousse-Mafouille et il va monter gueuler… Thibaut, écoute-moi... Ecoute-moi, vieux ! Je te promets que d’ici la fin du mois, je te trouve une solution. Tu vas nager, mon pote. Je ne sais pas encore comment mais je vais te rejeter à la flotte.

    Thibaut. – Jure-le, Nathan ! Sur la tête de la petite Sirène.

    Nathan. – Je te le jure… Et même sur les nageoires à Bubulle ! (En aparté.) Ô destin faquin ! Comment tenir pareille promesse ? Et comment pourrais-je ne pas la tenir ?... Eh bien, quoi qu’il en coûte, je suis homme de foi et je tiendrai parole.

     

    POOL PARTY : Chez les parents

    Samedi 23 mai, une semaine plus tard

    Le couple Chignole, les parents de Nathan, dans leur lit conjugal

    Monsieur. – Tiens, au fait, Nathan est passé cette après-midi à l’atelier…

    Madame. – Ah bon ? Pourquoi tu ne m’as rien dit ? Qu’est-ce qu’il raconte ?

    Monsieur. – Il venait emprunter deux, trois bricoles : des bâches, du Scotch, des palettes. Je crois qu’il monte une piscine.

    Madame. – Une piscine ? Nathan ? Mais son appart’ est au quatrième ! Germain, qu’est-ce que tu racontes ?

    Monsieur. – Oh, écoute ! J’en sais rien, moi.

    Madame. – Enfin, c’est ton fils quand même ! Tu aurais pu lui demander... Et s’il allait faire une bêtise…

    Monsieur. – Qu’est-ce que tu veux qu’il arrive ? Il bricole un peu : c’est pas une affaire qui va sortir dans la presse, hein. Allez, dors maintenant !

     

    POOL PARTY : Le plan de Stinky

    Dimanche 24 mai, 22h06

    Noëlla et Stinky, deux invités à la Pool-Party, dans la cuisine de l’appartement

    Noëlla. – Stinky, t’es pas encore en maillot ?!

    Stinky. – Nan ! Moi, l’eau j’aime pas ça. Au début, même, je voulais pas venir…

    Noëlla. – Ben oui, je comprends…

    Stinky. – Quoi ! tu voulais pas que je vienne ?

    Noëlla. – C’est pas ça mais bon… Qu’est-ce que tu vas faire si tu nages pas ?

    Stinky. – Thibaut m’a dit : « Viens quand même; tu verras, ce sera comme d’aller à la mer… »

    Noëlla. – Ah oui… Et quoi ?

    Stinky. – J’ai amené mon seau, je vais ramasser les coquillages.

     

    POOL PARTY : L’embuscade

    Dimanche 24 mai, 22h58, une petite demi-heure plus tard

    Bichon et Flanchard, deux policiers, dans le couloir de l’appartement

    Bichon. – Alors, c’est quoi le plan ?

    Flanchard. – Ben, je fous mon pied dans la porte ; on gueule ‘police !’, on pénètre ; et on neutralise tout ce qu’il y a à neutraliser. T’es prêt ?

    Bichon. – Attends, je suis pas sûr. C’est quand qu’on gueule ? Avant ou après qu’on pénètre ?

    Flanchard. – On s’en fout. On gueule et on débarque. Il est clair, le plan ; clair et net… Ton arme, elle est chargée ?

    Bichon. – Quoi ?

    Flanchard. – Bon sang, quelle bite, ce mec ! (Il lui gueule dans le nez.) Est-ce que ton arme est chargée ? C.H.A.R.J.É. : Chargée !

    Bichon. – Bah ouais qu’elle est chargée… (À mi-voix.) Presque autant que ton haleine.

    Flanchard. – Tu disais ?

    Bichon. – Rien, rien.

     

    POOL PARTY : Nageuses en cavale

    Dimanche 24 mai, 23h07, à peine dix minutes plus tard

    Vanilla et Sully, deux invitées de la Pool-Party, en maillots de bain sur les balcons de l’immeuble

    Vanilla. – Sully, je te hais. Sans déconner, je crois que je vais te tuer. Je voulais pas venir à cette putain de fête. Je t’avais dit que ce coup-là, je le sentais pas.

    Sully. – Mais arrête de râler, Vanilla. Regarde : le temps est super doux. Profite un peu ! Tu as vu toutes ces étoiles ? Y a la grande Ourse, là-bas.

    Vanilla. – Je crois que tu ne te rends pas compte : on est à moitié à poil, on est trempées, on a les flics au cul !

    Sully. – Le problème avec toi, c’est que tu vois toujours le verre à moitié vide.

    Vanilla. – « Le verre » ? Quel verre, bordel ? Y avait même pas d’alcool. C’était la Pool-Party la plus pourrie de toutes les Pool-Parties de l’histoire. Comment est-ce qu’on va redescendre maintenant ?

    Sully. – Passe-moi ta main, on va passer par la corniche. Tu me lâches pas, hein ! Promis ?

    Vanilla. – Non, mais sérieux, Sully, tu charries. Arrête ! (Sully glisse, Vanilla lâche sa main et Sully chute de quatre étages ; son cri d’effroi s’éteint dans la nuit.) Eh, merde ! Sully ?!... Oh, oh ! Sully ?... Qu’est-ce que ça dit en bas ? La voie est libre ?

     

    POOL PARTY : Blues de pompier

    Lundi 25 mai, 00h16, une heure plus tard

    Le pompier et Stinky (caché dans un coin), au bord de la piscine

    Le pompier, dans son talkie-walkie. – Capitaine, pour vider la piscine, je fais comment ? J’ai pas le matos, moi… À vous !... Capitaine, vous m’entendez ?... À vous… (Il vérifie le talkie-walkie.) Shit ! plus de batterie.

    Stinky, apparaissant. – Y en a pas, des coquillages !

    Le pompier, surpris. – Hein !? D’où il sort, celui-là ?...  (À Stinky.) Qu’est-ce que vous foutez là, vous ?

    Stinky. – J’étais sous l’évier, je comptais les cafards.

    Le pompier. – Les cafards ? Mais pourquoi?

    Stinky. – Parce que moi, l’eau, j’aime pas ça. Et puis, c’est pas comme la mer, ici. À la mer, les cafards c’est des moules.

    Le pompier. – Écoutez, mon vieux : faut pas rester là. La dalle peut céder d’une minute à l’autre.

    Stinky. – Ben… Et vous alors ?

    Le pompier. – Moi, j’ai reçu des ordres : je dois vider cette foutue piscine. D’ailleurs, faut que je trouve un truc… (Il cherche.)

    Stinky. – J’ai un seau.

    Le pompier. – Ah ouais ! (Il lui prend le seau des mains.) Ben… réquisitionné, du coup !

     

    POOL PARTY: Au bord de l’étang

    Mercredi 3 juin, dix jours plus tard

    Gilles (un ami de Thibaut) et le père Mouchaillon, dans un pré, au bord d’un étang

    Mouchaillon. – Ça n’a l’air de rien parce que c’est vaseux, mais c’est profond, vous savez ? J’avais mis des bébés requins là-dedans.

    Gilles. – Comment ça, des requins ?

    Mouchaillon. – Là, il n’y en a plus, hein ! Je ne sais pas comment ça se fait, ils ont crevé. Ils ont dû choper un truc…

    Gilles. – Tant mieux… Je veux dire : pour Thibaut c’est plus sécure.

    Mouchaillon. – Oh, je dis pas… mais ça m’a fait de la peine. Je les avais appelés Sharky et Makron. Deux belles bêtes, vous auriez vu !

    Gilles. – … En tous cas, c’est vraiment sympa de votre part de laisser Thibaut venir plonger : c’est super important pour lui. Rapport à la nouvelle nage qu’il met au point.

    Mouchaillon. – Ah ouais : la brasse dorsale croquée, je-sais-pas-quoi… C’est beau, l’innovation !... Enfin, là, ça commence à faire un peu long, quand même.

    Gilles. – Un quart d’heure, je dirais.

    Mouchaillon. – Et votre copain, il est censé remonter un jour, ou bien… ?

    (Un temps.)

    Gilles. – Pour vos requins, vous êtes 100 % sûr, ou bien… ?

    création théâtrale, juillet 2020

  • Maison à Vendre

    • Le 03/07/2020
    • Dans infos

    Maison à Vendre

    projet à reprendre

     

    dessin Fred TomisinecEn mars dernier, la promo 15 de notre atelier travaillait sur Maison à Vendre, un café-théâtre dont les représentations étaient prévues pour fin mai. Après avoir élaboré la trame narrative et défini les personnages du spectacle, le groupe s’attaquait à l’élaboration des dialogues. Le confinement a mis un coup d’arrêt au projet... 

    Le confinement aura durement affecté nos projets. Florologies, le café-théâtre de la promotion 14, devait faire le plein de spectateurs le weekend du 13 au 15 mars, l’équipe était fin prête mais n’a pu présenter son spectacle au public.

    La frustration fut grande également pour la promotion 15 qui préparait son spectacle Maison à Vendre, programmé le week-end du 22 au 24 mai. Notre ami Frédéric Tomisinec nous avait dessiné une belle affiche. Le spectacle devait emmener le public derrière les portes d’un bien immobilier à rafraîchir, hanté par les fantômes du passé et par les potentiels futurs acquéreurs. Les préparatifs allaient bon train avec un canevas fantasque et des personnages hauts en couleur…

    Voyez d’ici le tableau : autour de Clarisse Arrache-Clou, l’agent immobilier vite dépassée par les événements, se bousculent Soline Pointerolle, la championne du bricolage, et sa copine Nine Gradine, qui la suit en traînant les pieds, Francette Genouillère qui cultive "la zen-attitude", la baronne Zélie Wastringue et son rat Zouzou, Céleste Martelette dont la voix d’or cherche toujours le plus bel écho, Lucile Douille dans son imper sexy, Clio Moule, grande flemmarde devant l’Éternel, Guyot Burin, l’encombrant voisin, Florie Maillet la vieille mêle-tout du quartier, Josselin Serre-Joint, le fourbe fonctionnaire, Ronan Taraud, le poète qui perçoit les murmures des vieux murs. Et rôdant discrètement, se sentant comme chez elle, Fantine Moine, la squatteuse, qui scrute avec une douce ironie ces drôles de zigotos.

    En février, pour promouvoir le spectacle, l’équipe avait réalisé un shooting photo. Avant d’archiver le dossier (non sans l’espoir de reprendre un jour le projet inachevé), notre site publie quelques-unes des photos prises à cette occasion. Ça témoigne bien de l’enthousiasme de l'équipe et des chouettes soirées du lundi, d’octobre 2019 à mars 2020 ! En compagnie d’Isabelle Blanquet, Christiane Carlier, Joseph Cau, Dominique Fievet, Sophie Gérin, Inèse Haubourdin, Candice Honorez, Marianne Jourquin, Emilie Kalecinski, Sébastien Lambert, Camille Schiffer, Sandrine Vansnick et Gina Zicari.

    À présent, c’est l’été et on reprend doucement nos activités. « Le théâtre ça devient vite addictif, confiait Joseph Cau un soir où l'on préparait Maison à vendre. Une fois qu’on a commencé, on ne peut plus s’en passer. » Il est encore impossible de programmer nos prochains rendez-vous avec le public mais nous continuerons néanmoins à exercer notre fantaisie et à créer des saynètes délirantes. Le site Internet proposera tout au long de l’été des dialogues et des sketchs créés par les comédiens de l’ATO. Comme une promesse de retrouvailles…

    Jérémie Brasseur

     

    Ato 16 2020

    Ato 16 2020

    Ato 16 2020

  • FloroLogies - en BD

    • Le 18/03/2020
    • Dans infos

     

    FloroLogies

    souvenirs en bande dessinée

    affiche Fred Tomisinec

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSandy Vansnick

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSophie Maes - Joseph Cau - Coralie Thomas - Stéphanie Eggermont

     

    FloroLogies ATO-2020 BDIsabel Greco - Margarita Guerra

     

    FloroLogies ATO-2020 BDDorothée Giraud - Laurence Scherer

     

    FloroLogies ATO-2020 BDCoralie Thomas - Doriane Ghysels

     

    FloroLogies ATO-2020 BDStéphanie Eggermont - Eléonore Dimey

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSabrina Cauchies - Isabel Greco

     

    FloroLogies ATO-2020 BDJoseph Cau - Sophie Maes

     

    FloroLogies ATO-2020 BDDoriane Ghysels - Coralie Thomas

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSébastien Lambert - Sophie Maes - Doriane Ghysels

     

    FloroLogies ATO-2020 BDEléonore Dimey - Isabel Greco

     

    FloroLogies ATO-2020 BDRoberto Carbone - Margarita Guerra

     

    FloroLogies ATO-2020 BDMélissa Copenaut - Sabrina Cauchies

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSophie Maes - Isabel Greco

     

    FloroLogies ATO-2020 BDSébastien Lambert - Eléonore Dimey

     

    FloroLogies ATO-2020 BDCoralie Thomas - Sophie Maes - Roberto Carbone

     

    FloroLogies ATO-2020 BDJoseph Cau - Laurence Scherer

     

    FloroLogies carte groupe14

  • FloroLogies - programme

    • Le 13/03/2020
    • Dans infos

    FloroLogies

    Nous sommes contraints d'annuler les représentations de notre spectacle. Nous publions sur notre site le livret de présentation en souvenir de cette belle aventure. 

    Florologies programme

    Demandez le programme de notre nouveau spectacle FloroLogies... Ou plutôt servez-vous. Vous pouvez le télécharger  - tout en couleur ! - sur notre page Nos spectacles.

    L'accès rapide ? C'est par ici.

     

    FloroLogies, café-théâtre de l'atelier initiation au théâtre (promotion 2019-2020) / créé à la Maison de Quartier de Mons en mars 2020 / avec Roberto Carbone, Joseph Cau, Sabrina Cauchies, Mélissa Copenaut, Eléonore Dimey, Stéphanie Eggermont, Doriane Ghysels, Dorothée Giraud, Isabel Greco, Margarita Guerra, Sébastien Lambert, Sophie Maes, Laurence Scherer, Coralie Thomas, Sandrine Vansnick / textes de Jérémie Brasseur, Joseph Cau, Sabrina Cauchies, Doriane Ghysels, Dorothée Giraud, Isabel Greco, Jacques Lambert, Sébastien Lambert, Sophie Maes, Laurence Scherer, Coralie Thomas / adaptation des textes et mise en scène : Jérémie Brasseur / assistante-metteur en scène : Sandrine Vansnick / affiche : Frédéric Tomisinec

     

  • FloroLogies - Sandy

    • Le 10/03/2020
    • Dans infos

    FloroLogies

    Rencontre avec Sandy Vansnick

     

    FloroLogies - SandyCe week-end, l’Atelier Théâtre des Oiseaux présente son nouveau café-théâtre, FloroLogies, un spectacle fort en fleur écrit et interprété par la promotion 14 de l’atelier d’initiation au théâtre amateur. Les comédiens de l’équipe se sont confiés : ce qui les fait rire, ce qui les amène à se lancer dans le théâtre, ce qu'ils aiment chez les fleurs. Voici Sandy Vansnick, assistante à la mise en scène et animatrice de la soirée.

    Sandy, quand est-ce que tu ris ?

    Chaque soir en animant nos ateliers théâtre: les impros ou mises en scène sont souvent cocasses et on ne manque jamais une occasion de rire. Ça tombe bien, il parait que rire allonge la vie, je vais être centenaire! Avec mon mari aussi, on rit souvent. Avant, on scotchait sur notre frigo un post-it rapelant en quelques mots nos plus grands fous rires, puis il y en a eu trop... mais on ne rate pas une occasion de s’en remémorer. On a aussi des phrases qui sont sorties spontanément et sont devenues des expressions culte qui nous font toujours rire.

    Qu’est-ce qui te fait rire au théâtre quand tu vas voir un spectacle ?

    Je ris rarement lorsque je vais voir une comédie : en fait, toutes les situations où un personnage est emberlificoté dans ses mensonges, ça me met mal à l’aise, comme dans les pièces de Feydeau et de Ray Cooney, qui sont beaucoup jouées. Je n’aime pas non plus quand l’auteur se moque méchamment de quelqu’un. Quand je vais voir un spectacle d’humoriste, je ris aux bons mots, aux expressions bien trouvées, plus qu’aux situations.

    Quel est ton humoriste préféré ?

    J’ai pris énormément de plaisir à regarder l’émission On ne Demande qu’à en Rire (ONDAR). Mon humoriste préféré est Arnaud Tsamere. C’est, pour moi, le plus intelligent. Je l’ai vu deux fois sur scène. J’aime aussi brancher ma radio sur Rires et Chansons en vacances, cela me détend même si je ne m’esclaffe pas autant que le public à l’enregistrement. Plus vintage : j’aimais bien Les Frères ennemis.

    Quelles répliques de comédie te reviennent souvent en mémoire ?FloroLogies - groupe 14 / mars2020

    « Jour. Nuit. » dans Les Visiteurs, « Sur un malentendu, ça pourrait marcher » dans Les Bronzés font du ski, « Tout à fait, Thierry » des Inconnus, « Faut rire, ça remplace la viande » de L’Atelier, une pièce de Grumberg, « Confidence pour confit d’oie » de Pierre Dac, Une chanson qui fait : « On n’est jamais trop aidés ».

    Quel genre de déguisement t’amuse particulièrement ?

    J’ai pris un pied terrible à me déguiser et me maquiller en sorcière (pour La Grande Tourterie – mai 2018), j’ai aussi un excellent souvenir de m’être déguisée en Twix pour un café-théâtre (Boustifaille – décembre 2016) et tous les déguisements un peu sexy qu’on ne met pas couramment. En fait, je suis un peu ‘no limit’ au niveau des déguisements, rien ne me fait peur !

    Qu’est-ce qui t’a amusé depuis le début de cette aventure à l’Atelier Théâtre des Oiseaux ?

    Le shooting photos a été un moment très joyeux et les photos reflètent bien l’ambiance très amicale qu’il y a dans le groupe 14. On a aussi fait une sortie au marché de noël de Mons, qui s’est terminée dans une excellente friterie de Dour. Ça a été l’occasion de se découvrir en dehors des séances.

    Quand as-tu offert des fleurs pour la dernière fois ?

    Je m’offre couramment des fleurs car j’aime ça. J’ai récemment offert une rose de Noël à maman pour son anniversaire et avant ça, un montage de fleurs pour les noces d’or de mes parents. Le lys est ma fleur préférée. L’odeur n’est pas agréable mais j’aime la beauté de la fleur ouverte. Sinon, je suis fana de roses rouges (qui sentent bon).

     

    FloroLogies - groupe 14 / mars2020

  • FloroLogies - Doriane

    • Le 08/03/2020
    • Dans infos

    FloroLogies

    Rencontre avec Doriane Ghysels

     

    Florologies - DorianeDans quelques jours, l’Atelier Théâtre des Oiseaux présente son nouveau café-théâtre, FloroLogies, un spectacle fort en fleur écrit et interprété par la promotion 14 de l’atelier d’initiation au théâtre amateur. Les comédiens de l’équipe se sont confiés : ce qui les fait rire, ce qui les amène à se lancer dans le théâtre, ce qu'ils aiment chez les fleurs. Voici Doriane Ghysels, une comédienne qui aime les séances photo.

    Dans ce spectacle, l'équipe interprète un sketch écrit par Doriane (avec Coralie Thomas) : Marguerites.

    Doriane, quand est-ce que tu ris ?

    Partout et pour tout et rien. D’ailleurs plus la blague est nulle, plus j’ai de chance de rire. Au-delà de la blague elle-même, c’est surtout le jeu d’acteur qui me fera rire ou non.

    Quelle réplique de comédie te revient souvent en mémoire ?

    Celle qui me vient là maintenant, c’est la réplique de Jamel Debbouze dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre : « … Et juste là : un petit géranium ! »

    Quel genre de déguisement t’amuse particulièrement ?

    Un biker en costume de licorne.

    Qu’est-ce qui t’a le plus amusée depuis le début de cette aventure à l’Atelier Théâtre des Oiseaux ?

    Je dirais que ça a été notre petite séance photos… même s’il y a eu beaucoup d’autres chouettes souvenirs !

    Quand as-tu offert des fleurs pour la dernière fois ?

    La dernière fois que j’ai offert des fleurs, c'était à mon ex-belle-mère... et ça n’a pas vraiment été une réussite.

    Quelle est ta fleur préférée ?

    Je ne sais pas si j’en ai une. Les plus belles sont celles qui poussent naturellement, sans avoir besoin de l’homme.

    Si tu étais fleuriste, à quoi ressemblerait ta boutique ?

    Vu mon sens de l’organisation catastrophique, ce serait un miracle que je ne passe pas mon temps à confondre une rose et un lilas… et à intervertir les commandes des clients.

     

    FloroLogies - groupe 14 / mars2020

    FloroLogies - groupe 14 / mars2020

     

  • FloroLogies - Coralie

    • Le 06/03/2020
    • Dans infos

    FloroLogies

    Rencontre avec Coralie Thomas

     

    FloroLogies - CoralieDans quelques jours, l’Atelier Théâtre des Oiseaux présente son nouveau café-théâtre, FloroLogies, un spectacle fort en fleur écrit et interprété par la promotion 14 de l’atelier d’initiation au théâtre amateur. Les comédiens de l’équipe se sont confiés : ce qui les fait rire, ce qui les amène à se lancer dans le théâtre, ce qu'ils aiment chez les fleurs. Voici Coralie Thomas, une comédienne qu'un rien amuse.

    Dans ce spectacle, l'équipe interprète un sketch écrit par Coralie (avec Doriane Ghysels) : Marguerites.

    Coralie, qu’est-ce qui te fait rire ?

    Je ris tout le temps. Ou, en tout cas, très souvent. Cela me met de très bonne humeur. Il faut dire qu’un rien m’amuse ! Le rire fait partie intégrante de mon quotidien.

    Quel est ton humoriste préféré ?

    Gad Elmaleh. Ce que j’aime chez lui c’est qu’il met en scène des événements que nous vivons au quotidien, pour la plupart d’entre nous. C’est ça qui est drôle.

    Qu’est-ce qui t'a plu dans cette aventure théâtrale ?FloroLogies - groupe 14 / mars2020

    Ce que j’ai adoré à l’Atelier Théâtre des Oiseaux, c’est que le rire est le bienvenu. Il n’y a pas de pression, pas de compétition entre nous, rien qu’un partage de bon temps. De la simplicité. Et ça, ça fait vraiment du bien. Nous sommes un groupe très soudé.

    Quelle est ta fleur préférée ?

    Je ne peux en choisir une en particulier car je les apprécie toutes. Ce que j’aime dans la nature, et principalement dans les fleurs, c’est qu’elles sont toutes singulières. Chaque fleur dégage une odeur, une couleur et une émotion unique.

    Pour conclure, je voudrais citer Céline Blondeau : "Un simple regard posé sur une fleur… et voilà une journée remplie de bonheur !"

     

    FloroLogies - groupe 14 / mars2020