Les actus
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Mon petit poney
- Le 21/05/2021
- Dans infos
Entre Sophie et Sandrine, qui est la plus grande fan de Mon-Petit-Poney ? Pour le savoir, suivons-les jusque dans les toilettes. Nos comédiennes se sont coiffées de leurs plus flamboyantes crinières pour une vidéo pleine de panache.
⇒ Cliquez sur l’image pour visionner le film [2 min 12 s] sur Facebook.
« Le look My Little Pony, je t’apprends, c’est d’abord un état d’esprit. Moi, dans ma tête je suis 100 % Petit Poney. – Ouais, dans l’haleine, surtout ! »Nouveau souffle pour ce petit dialogue qui nous replonge dans nos souvenirs d’enfance. Ah, ces heures exquises consacrées à caresser les crins criards de nos poneys en plastique ! Et quelles délices pour les oreilles de nos familles que de nous entendre seriner à longueur de journée le générique du fabuleux dessin animé ! « Et si j’ai dans la tête / un air de fête / oui, c’est grâce à Mon Petit Poney. » Les moins de vingt ans ne peuvent pas comprendre ! (Les moins de quarante ans non plus, je crois.)
Ce sketch, écrit par Jérémie Brasseur pour Playlab, le cinquième café-théâtre de l'Atelier Théâtre des Oiseaux (décembre 2015), était à l’origine interprété par Magalie Baudouin (dans le rôle de la fashionista 1) et Zoé Koller (dans le rôle de la fashionista 2). Le texte est disponible au format PDF sur la page Sketches de notre site web. Les rôles ont été repris en mars 2018, en première partie de La Grande Tourterie, par Marie Devigne (Fashionista 1) et Nadège Florin (Fashionista 2).
Dans cette vidéo, le duo formé par Sandrine Vansnick et Sophie Maes ne manquera pas d’en scotcher plus d’un : « Et toc ! », comme on dit sur la page Facebook officielle des fans francophones de Mon Petit Poney. La musique est de Sophie Maes et de Damien Santerre, le montage de Jérémie Brasseur.
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Onze
- Le 14/05/2021
- Dans infos
Voici Teresa Maggiordomo et Sophie Gérin face à face (par la magie du montage vidéo) pour un duel sans merci. L’une a choisi onze livres, l’autre ne lui en accorde que dix.
⇒ Cliquez sur l’image dans quelques minutes pour visionner le film [3 min 04 s] sur Facebook.
« Pourquoi vous me parlez comme ça ? Qu’est-ce que je vous ai fait ? – Mais rien. Arrêtez de pleurer. – Vous ne voyez pas que je souffre. J’arrive avec onze livres. Oui, il y en a onze. Oui, c’est beaucoup. Mais dans mon cœur, ils ont tous la première place. »Assistez à un affrontement d’une rare férocité dans l’univers impitoyable – bien que feutré – des bibliothèques. Sophie s’est débrouillée pour trouver un décor plus vrai que nature. Teresa a pris son air le plus sévère pour faire respecter le sacro-saint règlement des lieux. Et, cerise sur le gâteau, en trois minutes, on vous sert le happy end sur un plateau. Après cela, si vous vous reconnaissez de près ou de loin dans le rôle de la lectrice indécise, vous n’aurez qu’à aller compulser J’apprends à prendre des décisions en dix leçons (… ou onze peut-être, l’auteur n’est pas fixé).
Ce sketch, écrit par Jérémie Brasseur pour Bibliothèque, le quatrième café-théâtre de notre atelier d'initiation au théâtre amateur (juin 2015), était à l’origine interprété par Bruna Campagna (dans le rôle de la bibliothécaire) et Marie-Françoise Glineur (dans le rôle d’Yvonne, la lectrice). Le texte, un peu écourté dans sa version vidéo, est disponible au format PDF sur la page Sketches de notre site web.
La musique est de Sophie Maes et de Damien Santerre, le montage de Jérémie Brasseur.
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rencontre - Genseric Delpâture
- Le 12/05/2021
- Dans infos
Rencontre avec un passionné
Genseric Delpâture, forgeur de rêves
La semaine dernière, dans le cadre de ses rencontres virtuelles, l’Atelier Théâtre des Oiseaux a reçu la visite de Genseric Delpâture, le président du club de jeu de rôle Les Forgeurs de Rêves basé à Mons. Passionné par les jeux de rôle depuis l’âge de 11 ans, Genseric en a lui-même créé plusieurs.
Depuis décembre dernier, les membres de l’ATO se retrouvent par visioconférence autour de ce qu’on appelle entre nous des jeux de rôle. Mais il est évident que nos petits scénarios improvisés autour de faits divers sont assez éloignés de ce qu’on définit ordinairement par ce terme. En fait, le jeu de rôle a bien évolué ces dernières décennies ! Si vous avez en tête un groupe de collégiens bizarres qui se lancent des sortilèges le soir au fond des caves, il est temps de revoir votre copie. Genseric Delpâture, le président du club Les Forgeurs de Rêves a accepté de participer à l’une de nos rencontres virtuelles pour nous parler de sa passion.
Genseric, depuis quand t’intéresses-tu aux jeux de rôle ?

J’avais 11 ans quand je suis entré dans cet univers. J’ai fait mes premières armes en famille et avec des amis, puis je suis entré dans un club. Peu à peu, j’ai fait mon chemin et j’en suis devenu le président. Je suis aussi le créateur de jeux de rôle, dont certains (Le Club et L’Agence Barbare) ont été publiés par des maisons d’édition reconnues.
Comment pourrait-on définir le jeu de rôle ?
Le jeu de rôle n’a pas toujours été bien perçu. Il faut dire que les univers des aventures proposées font souvent référence aux monstres, à la magie noire ou à des thèmes horrifiques. Les parents n’étaient pas franchement rassurés à l’idée que leurs enfants lançaient des sortilèges dans les caves des appartements. Pourtant, le jeu de rôle n’a rien de sulfureux. C’est un jeu de société, un peu comme le Monopoly. Les joueurs sont amenés à interagir dans le cadre d’un scénario. Ils construisent eux-mêmes leurs personnages en respectant quelques règles fixées par le maître de jeu. Au cours des aventures, le hasard prend une place importante : d’où la grande variété des dés utilisés… du dé à trois faces au dé à cent faces !
Quand on pratique le jeu de rôle, on parle beaucoup…
Oui, c’est un art oratoire. Le maître du jeu raconte l’histoire et les joueurs dialoguent avec lui. L’un des aspects les plus intéressants, c’est que le jeu de rôle se pratique en équipe. Il est très rare que les joueurs s’opposent les uns aux autres au cours d’une partie. Au contraire, ils s’allient pour déjouer les plans machiavéliques du maître de jeu, qui est en fait l’animateur de la partie. Il n’est pas là pour embêter les joueurs mais pour que leur expérience soit la plus intéressante possible. Ce qui implique de semer des embûches au fil de l’histoire. Plus les dangers seront grands, plus les joueurs seront heureux d’arriver au terme de l’aventure avec des personnages en vie.
Combien de temps dure une partie ?Il y a différents formats. Certains jeux de rôle durent une demi-heure. C’est une bonne façon de faire découvrir notre activité lorsqu’on tient un stand dans un salon et que les gens passent de table en table. Il y a donc des jeux de rôle très courts mais ce ne sont pas ceux qui permettent de s’impliquer vraiment dans la construction d’un personnage et de découvrir un univers très riche. Le format d’une partie classique s’étend sur quatre ou cinq heures. Ce sont les one shot qui permettent de mener une aventure à son terme en une soirée. Et puis, il y a des formats beaucoup plus longs, les campagnes. Elles peuvent s’étaler sur plusieurs années au rythme d’une partie par mois avec un enchaînement de scénarios qui entraînent une réelle évolution des personnages.
Vous incarnez vos personnages, c’est un peu comme dans le théâtre d’improvisation ?
Oui, avec une grande différence tout de même. Il n’y a aucune obligation de faire parler son personnage. On dira par exemple : « J’entre dans l’auberge, je demande ce qu’il y a à boire. » De temps en temps, un joueur peut commencer à parler avec la voix de son personnage mais très souvent on se contente de décrire les actions et le contenu des conversations.
Pourquoi les jeux de rôle plongent-ils toujours les joueurs dans un univers fantastique ?
Ce n’est pas toujours le cas mais c’est vrai pour 95 % du marché. Comme on dit souvent, si c’est pour jouer la vie de tous les jours – métro, boulot, dodo – le jeu de rôle n’a pas grand intérêt. Cela vient sans doute aussi de l’influence énorme de Donjons et Dragons. Ce jeu de rôle [médiéval-fantastique], créé dans les années 70, a touché les amateurs de ce type de littérature. Mais de nos jours, il y a beaucoup d’autres univers, souvent inspirés de films et de séries, comme La Guerre des Étoiles, Harry Potter ou James Bond.
Participer aux jeux de rôle, cela peut-il devenir une pratique addictive ?
Je n’ai jamais connu de cas où cela soit devenu pathologique. Bien sûr, il y a des passionnés qui voudraient pratiquer le jeu de rôle le plus souvent possible, mais rien qui puisse devenir inquiétant. Par contre, la pratique du jeu de rôle pourra aider une personne timide à sortir de sa coquille. J’ai le souvenir d’un jeune homme qui est arrivé au club en se cachant derrière sa maman. Au fil des séances, on l’a vu prendre sa place, gagner en assurance et commencer à défendre son point-de-vue avec aplomb. Le jeu de rôle permet d’épanouir le contact social et de développer la faculté de prendre la parole en public.
Comment fonctionne le club des Forgeurs de Rêves ?Ces dernières années, le club a connu une grande augmentation du nombre de ses adhérents. Début 2020, il rassemblait plus d’une cinquantaine de membres. Nous accueillons un large public, hommes et femmes, à partir de 12 ans. Cela fait beaucoup de monde à caser ! Bien sûr, les joueurs peuvent se réunir chez les uns et les autres mais, en principe, nous encourageons les maîtres du jeu à organiser leurs séances dans les trois locaux mis à la disposition du club à Mons : Les Bains Douches (rue de Malplaquet), la maison de quartier de Cuesmes et le bâtiment de la Ligue des familles sur le boulevard Albert-Elisabeth. Nous espérons nous retrouver dès que la situation s’améliorera. Bien sûr, des parties ont pu se dérouler en visioconférence. Internet propose des outils pour cela. Mais pouvoir se rassembler autour d’une table, avec nos chips et nos pizzas, cela garde une saveur inégalée !
Propos recueillis par Jérémie Brasseur
Forum des Forgeurs de Rêves : www.forgeurs.net
Pour découvrir les jeux de rôle de Genseric Delpâture : www.jdra.eklablog.net
On trouve des jeux de rôle en vidéo sur YouTube. Par exemple : www.youtube.com/c/RôlenPlay
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Bouffe-balle
- Le 07/05/2021
- Dans infos
Malgré ses moyens techniques limités, l’ATO vous propose dans cette vidéo deux Joseph Cau pour le prix d’un. Le voici, se donnant la réplique à lui-même, dans le sketch Bouffe-Balle.
⇒ Cliquez sur l’image pour visionner le film [1 min 17 s] sur Facebook.
« Steeve, the revolution is dead ! »Ils en tiennent une couche, ces deux gaillards qui philosophent autour d’un pétard au beau milieu du champ de foire. La scène est extraite de notre spectacle Fête foraine créé en octobre 2018 avec une belle équipe de 22 comédiens. L’action se déroulait en 1988, soit vingt ans après les événements de Mai 68. À l’époque déjà, les grands espoirs révolutionnaires commençaient à sentir le sapin…
Lors de la création du spectacle, Joseph Cau incarnait un pittoresque penseur aux propos perchés avec la complicité de Jean-Pascal Giacometti. Ces deux-là s’entendaient comme larrons en foire quand il s’agissait de faire le pitre. Le duo ne faisait que traverser brièvement la scène, mais avec quel charisme ! D’où l’envie qui nous est venue de remonter le dialogue en capsule vidéo. Cette fois, Joseph a dû ruser pour camper lui-même les deux rôles. Par chance, c’est le king du relooking. Lunettes, perruque, pull rayé, badges, bob, chemise à fleurs, pétard de compète… tout lui va comme un gant.
Octobre 2018, c’était il y a deux ans et demi. Et pourtant comme cette époque nous semble lointaine. On pourrait presque renchérir au discours désabusé de nos deux hippies. On n’en est même plus à canarder des mannequins en plastique avec des balles en mousse ; on attend gentiment la permission de pointer le nez dehors. Eh oui, Steeve, faut se faire une raison : elle est dead de chez dead, la révolution !
Le texte et le montage sont de Jérémie Brasseur, la musique de Sophie Maes et Damien Santerre.
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Les chrysanthèmes
- Le 21/04/2021
- Dans infos
Maudits, Les chrysanthèmes de Sophie Maes ?... Par deux mis en scène et répété, par deux fois privé de représentations, le sketch est finalement créé en vidéo.
⇒ Cliquez sur l’image pour visionner le film [4 min 51 s] sur Facebook.
Pauvre madame Bernard. La voilà veuve ! Pour rendre hommage au pauvre monsieur Guy, le fleuriste du quartier s’efforce de trouver les mots… et les fleurs… La tâche est délicate ! il faut composer avec les desideratas de madame. Une chose est sûre : À mon cher époux tant regretté n’est pas la formule adéquate à broder sur la couronne.Il y a un an, l’Atelier Théâtre des Oiseaux était obligé d’annuler les représentations de son café-théâtre FloroLogies. Le sketch Les chrysanthèmes écrit par Sophie Maes allait dormir quelques mois au fond d’un tiroir. En octobre 2020, Joseph et Sophie, les deux comédiens qui avaient mémorisé le texte, étaient ravis de ressortir le dialogue des cartons. L’ATO préparait alors son café-théâtre ROUF ROUF bric & Broc au Malgré Tout de Ciply. Et puis, patatras : la Belgique est de nouveau confinée et le spectacle est annulé. Aujourd’hui, voilà Les chrysanthèmes créés en vidéo. Ouf, cette fois, c’est la bonne !
Joseph Cau a renoué avec ses racines méridionales pour interpréter un fleuriste mélomane, sensible et amoureux de son métier. Quant à Sophie Maes, le rôle de la veuve 'éplorée' lui permet d’explorer un personnage au bord de la crise de nerfs. Sophie n’aura pas ménagé ses efforts pour ce sketch puisqu’ici, outre son implication en tant que comédienne, elle signe le texte, ainsi que la musique du générique avec la complicité de Damien Santerre. Le montage est de Jérémie Brasseur.
À l’heure de mettre en ligne cette vidéo, on adresse un salut amical à toute l’équipe de FloroLogies. Notre aventure théâtrale s’est interrompue de façon brutale mais on garde l’espoir de se revoir un jour. C’est donc un B.À.V. qu’on vous envoie… et non un R.I.P. !
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Infos Malédictions - verre
- Le 18/04/2021
- Dans infos
Infos Malédictions – au fond du verre
Rendez-vous en terrain mystique ! Un an et demi après leur interprétation sur scène, Sandrine Vansnick et Sophie Gérin reprennent en vidéo le dialogue Infos Malédictions – au fond du verre.
⇒ Cliquez sur l’image pour visionner le film [1 min 58 s] sur Facebook.
Que se passe-t-il lorsqu’une personne boit dans le verre d’une autre ? Si vous n’êtes pas féru de superstitions, vous l’ignorez peut-être. Heureusement, au bureau Infos Malédictions, un personnel qualifié peut éclairer votre lanterne.En octobre 2019, quand nous avons monté notre café-théâtre SuperStitieux avec la 13e promotion de notre atelier d’initiation au théâtre amateur, les dialogues Infos Malédictions ponctuaient le spectacle : ils servaient d’intermèdes entre deux sketchs plus longs. Chaque saynète entraînait le public dans l’étrange office d’un service d’information hors du commun, où des employés zélés répondaient aux demandes portant sur les présages, les sortilèges et autres phénomènes paranormaux.
En avril 2021, Sandrine et Sophie réinterprètent leurs personnages en vidéo. Les deux comédiennes marquent ici davantage le contraste entre la spécialiste de l’ésotérisme, aux allures sibyllines, et la requérante, très fleur bleue. Pensez à nous la prochaine fois que vous reposez votre verre n’importe où sur la table !
Le texte et le montage sont de Jérémie Brasseur. La musique du générique a été composée et enregistrée par Sophie Maes et Damien Santerre.
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Les mouchoirs
- Le 14/04/2021
- Dans infos
Toujours actifs en visioconférence, les comédiens de l’ATO reprennent avec les moyens du bord quelques anciens sketchs. Sandrine Vansnick et Teresa Maggiordomo ouvrent le bal avec une reprise des Mouchoirs.
⇒ Cliquez sur l’image pour visionner le film [4 min 06 s] sur Facebook.
« Les gens doivent trouver ça étrange, deux femmes qui brinqueballent deux valises bourrées de liasses de mouchoirs. »

Les Mouchoirs c'est un sketch écrit par Marie-Françoise Glineur et Jérémie Brasseur pour le troisième café-théâtre monté par l’ATO, Le Pactole (présenté en décembre 2014). Sur scène, Cécile et Marie-Françoise, les deux comédiennes qui interprétaient les rôles de Véronique et Laetitia, s’agrippaient à un manche à balai faisant office de barre de rame de métro !
En octobre 2020, l’Atelier prévoyait de reprendre quelques anciens textes dans le cadre de ROUF ROUF bric & broc, son deuxième café-théâtre préparé sur le pouce au Malgré Tout de Ciply. Le reconfinement nous a empêchés de mener notre projet à terme. En attendant la réouverture des salles, voici une interprétation en vidéo. Un sacré challenge pour les deux comédiennes, Teresa et Sandrine, d’enchaîner chacune de son côté les répliques de son personnage face à la webcam.
Cela ne rivalise pas avec le plaisir de rencontrer le public mais l’exercice est fort intéressant ! Quant au résultat, on espère que les spectateurs internautes le trouveront distrayant. Le montage a été réalisé par Jérémie Brasseur. La musique du générique est signée par Sophie Maes et Damien Santerre.
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nouveau : Cartes virtuelles
- Le 25/03/2021
- Dans infos
Besoin d’une pensée positive ? Sur son site internet, l’Atelier Théâtre des Oiseaux ajoute un album photo. Vous y trouverez nos ‘Cartes virtuelles’ : des photomontages à parcourir et à diffuser. Les comédiens de l’ATO revêtent leurs plus beaux costumes, ressortent quelques accessoires de scène et mettent leur expressivité au service de citations drôles, tendres et optimistes.
Aidez-nous à enrichir cette collection. Vous aimez photographier toutes sortes de paysages ? Faites-nous parvenir quelques-unes de vos photos numériques, nous en ferons nos prochains décors (par email : jeremie.brasseur@hotmail.com). Vous pouvez aussi nous partager vos citations préférées. Celles qui vous remontent le moral…

Teresa Maggiordomo, photomontage ATO mars 2021