TdM - Joseph Cau
- Par brasseur-vansnick
- Le 16/11/2018
- Dans infos
« Une parenthèse enchantée dans le quotidien »
rencontre avec Joseph Cau
A l’approche de notre café-théâtre Tranches de Maillard (les 7, 8 et 9 décembre 2018), les comédiens se confient sur ce spectacle et ce qui les pousse à faire du théâtre. Voici Joseph Cau.
Joseph est arrivé à l’Atelier Théâtre des Oiseaux en 2017. Il a participé à la création du café-théâtre Faut te faire un dessin ? (décembre 2017), puis aux spectacles La Grande Tourterie (mars 2018) et Fête foraine (octobre 2018) avant de rejoindre le groupe de Tranches de Maillard. Pour ce spectacle, Joseph a écrit un grand nombre de sketchs : Colin et Coline à la télé ; Bébé n’est pas content ; Recrutement militaire ; Dernière demeure ; Adolescence difficile ; Vie à la maison de retraite ; Bal de village.
Joseph, toi, tu as eu la chance de travailler dans le monde du spectacle…
Oui, j’ai été machiniste dans les années ’70 : je montais et démontais les décors au Théâtre de Mons. J’ai eu l’occasion de découvrir un monde à part ! J'ai rencontré des acteurs, des chanteurs, des comédiens : je les ai côtoyés de près et avec certains d’entre eux, j’ai partagé un petit moment de rire et de détente. Ah oui, j’ai aimé ça énormément !
Qu'est-ce qui t'a marqué dans la préparation de ce spectacle ?
J’ai été impressionné de voir Justine et Michel se lancer dans l'aventure : un père et sa fille qui viennent faire du théâtre ensemble !...
C'est quoi, pour toi, faire du théâtre ?
C’est une remise à l’heure des pendules de la vie. Ça me va car j’ai un côté enfant et, malgré mon âge, je ne suis pas près de le perdre. Quand on fait du théâtre, rien n’est jamais acquis, tout est possible. Et quand on monte sur scène, il faut s’abandonner soi-même et n’avoir qu’une seule envie : donner !
Qu’est-ce qui te motive à faire du théâtre amateur ?
Le défi, l’originalité, l’adrénaline du spectacle, les rencontres… Ce qui est important à mes yeux, c’est le fait de faire groupe… la camaraderie. Quand je regarde le résultat de notre shooting du 6 septembre dernier, je me dis que toutes ces photos sont réussies parce qu’elles montrent l’essentiel : le plaisir que nous avons eu à les prendre.
Imagine ce que pourrait être ta vie si tu avais un frère jumeau...
On a déjà parfois du mal à me suivre : heureusement qu’on n’est pas deux !