Piliers - Isabelle
- Par brasseur-vansnick
- Le 04/12/2019
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Piliers de Comptoir
« J’étais une étudiante bien guindailleuse. »
Interview d'Isabelle Blanquet
Piliers de Comptoir, la nouvelle création théâtrale de l’ATO invite les spectateurs dans l’univers joyeusement imbibé du Nul Bar Ailleurs, un café pittoresque de la région. À l’approche du spectacle (6, 7 & 8 décembre prochain à la Maison de Quartier de Mons), les comédiens ont pris la pose devant notre appareil-photo. Pour l’occasion, nous les avons emmenés au Bistro’c à Naast. Et on en a profité pour leur poser deux ou trois questions.
Isabelle Blanquet interprète dans ce spectacle le rôle de Mystic, une cinéaste aux scénarios typiquement hollywoodiens (mais aux budgets typiquement belges). Isabelle est arrivée à l’ATO en septembre 2015 (promotion 6). Elle a déjà participé aux spectacles suivants : Le Petit Chaperon rouge (juin 2016), Montigny-les-Deux-Platanes (octobre 2016), Cappadoce (mars 2017), La Gazette du bon Dieu (novembre 2017), La grande Tourterie (mars 2018), Fête foraine (octobre 2018). En mai dernier, dans Parc Montines, Isabelle interprétait le rôle de Chrystal La Lanterne.
Chrystal La Lanterne, c’était un personnage très autoritaire. Est-ce que tu aimes ce genre de rôle, Isabelle ?
J’avais envie de jouer une fois ce genre de personnage, très éloigné de ce que je suis dans la vraie vie. Mais j’aimerais aussi jouer d’autres personnalités. Je n’aimerais pas jouer tout le temps le même type de rôles. J’aime bien changer. C’est ce que j’aime dans le théâtre, c’est de se mettre dans la peau de personnages très variés.
Quel a été ton rôle préféré ?
J’ai bien aimé Antonia pour les pantomimes et Chrystal avec son sale caractère. Dans Le Petit Chaperon rouge, j’ai bien aimé la diversité des rôles dans un même spectacle. J’aimais bien changer de costume au cours de la soirée, j’ai trouvé ça chouette.
Quel souvenir gardes-tu de ta dernière cuite ?
Pendant mes études, je ne pourrais pas dire combien de cuites j’ai prises. J’étais une étudiante bien guindailleuse, au vin ou à la bière. Ce n’était pas triste.
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David Courselles / Isabelle Blanquet