Dessin - Joseph

« Il y a bien longtemps » (sic), Joseph a travaillé comme machiniste au Théâtre Royal de Mons. Il en garde une certaine expérience de l’envers du décor. En février dernier, il s’est lancé dans l’aventure, à l’Atelier Théâtre des Oiseaux, pour « rencontrer des gens animés par les mêmes désirs ». L’occasion d’entrer dans « un univers de rêves, de plaisirs et d’amusement », de « réveiller un court instant l’enfant qui sommeille en soi ».

Joseph, peux-tu raconter une anecdote à propos de cette année d’atelier-théâtre ?

Chaque atelier pour moi est l’occasion d’anecdotes, bonnes, très bonnes et parfois malheureusement moins bonnes.

Dans tes rêves les plus fous, qu’est-ce que tu aimerais faire au théâtre ?

Mes rêves, je les vis au jour le jour au cours des séances de l’atelier et ce sans prétention. Je pense que le rêve le plus fou qu’on devrait tous avoir, c’est celui d’arrêter le temps pour vivre pleinement l’intensité d’un moment.

Quelle est la bande dessinée qui t’a le plus marqué ?

Goscinny et Uderzo [les papas d’Astérix] sont pour moi une référence car aujourd’hui encore, après avoir lu et relu leurs BD, je découvre des détails qui m’avaient échappé et qui me font rire.

Si tu étais un dessinateur surdoué, que choisirais-tu de dessiner ?

La bêtise du monde dans toute sa splendeur

Et qu’est-ce que tu pourrais nous dessiner en dix minutes sur un coin de table ?

Une attache de coin de table qui retient la nappe