Comptines - Catherine / David
- Par brasseur-vansnick
- Le 06/04/2018
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Comptines bancales / interviews croisées -2
Catherine - David
Le weekend des 18, 19 et 20 mai prochain, la dixième promotion de notre atelier d’initiation présentera au public son spectacle Comptines bancales. Contrairement à ce que le titre semble indiquer, ce café-théâtre repose sur deux pieds fièrement campés : l’un repose sur le thème des bancs, l’autre sur le thème des comptines. Sur scène, une douzaine de comédiens présenteront une vingtaine de sketchs écrits et mis en scène au cours de nos séances hebdomadaires. L’occasion pour le public de venir applaudir de nouveaux talents et de s’amuser aux histoires loufoques – voire franchement déjantées – imaginées par ce groupe décidément plein de charme et de personnalité. Durant les mois d’avril et de mai, on vous présente, deux par deux, les protagonistes de cette nouvelle aventure de l’Atelier Théâtre des Oiseaux. Et voici cette semaine Catherine Beerens et David Courselles.
Aviez-vous déjà fait du théâtre auparavant ?
Catherine : Une petite expérience en humanité, il y a bien longtemps. Mais depuis, je n’avais jamais refait de théâtre.
David : Il y presque vingt ans, j’ai participé à un petit spectacle inspiré de la vidéo des Inconnus sur la police avec la musique de Striptease en toile de fond. Beaucoup de rires au programme pour nous et les 200 spectateurs. Un super souvenir !
Qu'est-ce que vous avez envie de partager avec le public en montant sur scène?
David : Des rires, de la joie et de la bonne humeur. Il y a bientôt six mois que le groupe s'est formé. Je ne m'attendais pas à ce que cette aventure me donne autant de joie et me fasse regretter de ne pas avoir commencé plus tôt.
Catherine : J’ai envie de partager avec le public le plaisir de jouer sur scène le fruit de nos soirées du mardi et le bonheur que cela procure, même si le trac est à son maximum. Je ne m’attendais pas à rencontrer autant de tolérance et de bienveillance.
Quelle est la comptine traditionnelle qui vous laisse le souvenir le plus marquant ?
Catherine : Frère Jacques, un grand classique connu de tous.
David : Moi, je pense à Pirouette, cacahuète. Petit, je trouvais horrible cette histoire d'un facteur qui se casse le bout du nez, qu’un oiseau vient voler, etc. Je voyais le facteur avec son visage sans nez. C’est très ‘gore’ en fait, cette comptine.
Parmi les personnages chantés dans les comptines, lequel mériterait une médaille selon vous ?
Catherine : Je leur attribue une médaille à tous ! Avec eux, c’est le retour à l’enfance garanti.
David : Je donnerais à ce bon roi Dagobert la médaille du gars simplet et sympathique dont tout le monde se moque.
Comptines bancales / Catherine S et David
Comptines bancales / Catherine B et Jossia