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Les actus

  • Fête foraine - programme

    • Le 05/10/2018
    • Dans infos

     

    Fête foraine

    Demandez le programme !

     

    affiche Fred Tomisinec

    Demandez le programme de notre nouveau spectacle Fête foraine... Ou plutôt servez-vous. Vous pouvez le télécharger  - tout en couleur ! - sur notre page Nos spectacles.

    L'accès rapide ? C'est par ici.

    Fête foraine photo de groupe

    Fête foraine, comédie de l'Atelier Théâtre des Oiseaux / représentations à la Maison de Quartier de Mons les 5, 6 & 7 octobre 2018 / reprise le 21 octobre 2018 à l'UCL Mons / texte de Jérémie Brasseur / mise en scène de Sandrine Vansnick et Jérémie Brasseur / avec Catherine Beerens, Cécile Biefnot, Isabelle Blanquet, Elodie Blauwart, Céline Brasseur, Roberto Carbone, Joseph Cau, Jossia Collard, Mélissa Copenaut, David Courselles, Chiara Cristelli, Marc Delvigne, Fanny Duray, Marie-Bérengère Etienne, Nadège Florin, Jean-Pascal Giacometti, Nathalie Mauroy, Nathalie Nihoul, Amandine Rzonca, Catherine s’Heeren, Olivier Vandernoot, Sandrine Vansnick / affiche de Frédéric Tomisinec / décors de Jean-Pascal Giacometti

     

  • Fête foraine - Catherine Beerens

    • Le 03/10/2018
    • Dans infos

    « Essayez, c’est vraiment enrichissant ! »

    rencontre avec Catherine Beerens

     

    Catherine Beerens Fête foraineA l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce. Voici Catherine Beerens.

    Catherine est arrivée à l’ATO l’an dernier. Avec ses camarades de la promotion 10, elle a monté le café-théâtre Comptines bancales (mai 2018). A cette occasion déjà, elle a interprété différents rôles dans les sketchs Ainsi font les petites marionnettes ; Meunier tu dors ; Banc solaire ; Banc de touche. Catherine est aussi très douée dans la fabrication de barbe-à-papa en pure ouate et dans la confection de robes de marionnettes à taille humaine.

    Catherine, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    J’adorais ! Mais à l’âge de 10 ans, je me suis cassé le nez dans les autos-scooters. J’en garde une bosse sur le nez. Et je ne suis plus jamais allée sur ce manège.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?
    Des rencontres, des défis, de l’enthousiasme, un exutoire d’émotions. Que du positif... Essayez, c’est vraiment enrichissant.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Un grand groupe, une belle histoire, de beaux textes, un éventail d’humour et d’émotions. J’espère être à la hauteur du défi.

     

    Catherine Beerens Fête foraine

     

  • Fête foraine - Roberto Carbone

    • Le 28/09/2018
    • Dans infos

    « Le théâtre peut aussi m'aider à améliorer mon français. »

    rencontre avec Roberto Carbone

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et le 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce.Voici Roberto Carbone. 

    Roberto Carbone - Fête foraineRoberto est arrivé à l’Atelier Théâtre des Oiseaux en 2015, avec son épouse Chiara. Avec ses camarades de la promotion 5, il a monté le café-théâtre PlayLab (décembre 2015). Quelques mois plus tard, il participe à l’aventure des Valoristes (avril 2016) : l’occasion de jouer encore quelques sketchs, puis il interprète un touriste amoureux de son téléphone portable dans la comédie Cappadoce (mars 2017). Avec Fête foraine, il intègre un nouveau projet.

    Roberto, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants de fêtes foraines ?

    Je me souviens que lorsque j'étais un petit enfant, j'avais très envie de prendre le fusil au stand "tir à pipes", l'année dernière mon épouse a gagné un cadeau avec ça. Jeune étudiant du lycée, je me rappelle un truc comme la Balançoire diabolique qu'il y a dans la pièce... ça m'avait détraqué l'estomac. Globalement, ça me fait toujours plaisir de faire un tour sur une fête foraine.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Faire du théâtre amateur me permet de me détendre, de m'amuser, d'oublier les soucis de la maison et du bureau et, au fur et au mesure, ça peut peut-être devenir une passion.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Pendant la préparation de Fête foraine, j'ai eu l'occasion de retrouver des anciens camarades mais aussi de faire de nouvelles rencontres ; des gens qui ont la même passion que moi, et aussi, comme je suis italien, j'espère que j’améliore un peu mon français.

     

    Roberto Carbone - Fête foraine

  • Fête foraine - Fanny Duray

    • Le 26/09/2018
    • Dans infos

    « Le théâtre amateur offre la possibilité de ne pas être soi-même… »

    rencontre avec  Fanny Duray

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce.Voici Fanny Duray. 

    Fête foraine - Fanny DurayFanny est arrivée à l’Atelier Théâtre des Oiseaux l’an dernier. Mais son intérêt pour le théâtre est bien plus ancien : « En 3e secondaire, se souvient-elle, notre professeur de français nous a mis au défi d’apprendre puis d’interpréter, sur scène, le monologue de L’Avare de Molière ainsi que La partie de cartes de Marcel Pagnol. » Avec ses camarades de la promotion 10, elle a monté le café-théâtre Comptines bancales (mai 2018). A cette occasion déjà, elle a campé une péniche irrésistible…

    Fanny, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants de fêtes foraines ?

    Lorsque j’étais petite, j’aimais m’appliquer à pêcher les canards et j’étais souvent déçue de constater que les gros canards n’étaient pas toujours ceux qui affichaient le plus de points. Je me rendais également au stand de "bouffe-balles" bien que les visages de ces bonhommes mangeurs de balles me paraissaient effrayants. Les maisons hantées attisaient ma curiosité mais par manque d’audace, ce qu’elles cachaient restait pour moi un grand mystère. Maintenant que je suis une grande fille, les fêtes foraines s’apparentent plus à un rendez-vous gastronomique : pommes d’amour, barbes à papa et autres beignets ont remplacé la pêche aux canards.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Je décrirais le théâtre amateur comme un art aux bienfaits multiples : tantôt thérapeutique pour ceux qui n’aimaient pas prendre la parole en public avant de commencer l’aventure, tantôt libérateur pour d’autres qui cherchaient un exutoire au stress du quotidien. Ce qui est merveilleux, c’est qu’au final chacun en tire une certaine satisfaction. Ce que j’aime particulièrement dans le théâtre amateur, c’est qu’il offre la possibilité de ne pas être soi-même : camper divers rôles, adopter des accents, se retrouver dans des situations plus cocasses les unes que les autres… au théâtre tout est possible !

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Après la magnifique aventure de Comptines bancales, je ne pouvais me résoudre à abandonner les copains et renoncer au projet Fête foraine. Toutefois, les règles du jeu changent : il s’agit cette fois d’une pièce de théâtre qui compte une vingtaine de comédiens. Petit à petit, on finit par s’habituer aux textes collectifs, au grand nombre de comédiens et on partage la scène avec de nouvelles personnes. C’est un nouveau challenge !

     

    Fête foraine - Fanny Duray

    Fanny avec Marc Delvigne - Comptines Bancales (mai 2018)

     

  • Fête foraine - Sandrine Vansnick

    • Le 21/09/2018
    • Dans infos

    Co-animatrice et comédienne

    rencontre avec  Sandrine Vansnick

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et le 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce. Et cette semaine, c’est Sandrine Vansnick, co-animatrice de l’atelier, qui a bien voulu répondre à nos questions.

    Sandrine Vansnick Fête foraineAu mois de mai dernier, alors qu’on préparait ce spectacle, Sandrine a réalisé un véritable reportage-photo à la Foire du Trône à Paris : « C’était immense, on s’y serait perdu. Je n’imaginais pas tout ce qui existait comme manèges. Ça part dans tous les sens : dans l’eau, dans les airs, dans les véhicules les plus improbables et dans des décors très soignés. Il y avait aussi de nombreuses baraques qui proposaient toutes sortes de crasses colorées et appétissantes, je me suis laissée tenter par une glace italienne. »

    Sandrine, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    Au carnaval d’Haine-Saint-Pierre, j’aimais aller sur la chenille et à la pêche aux canards. Dans un parc comme Disneyland par exemple, je me suis toujours contentée des attractions pour enfants. Une fois, il y a très longtemps, j'ai accepté de monter dans le Space Mountain : quelle inconscience ! la photo prise par l’appareil automatique en dit long sur la manière dont j’ai vécu l’expérience... Les tasses qui tournent ou bien le cinéma dont les sièges bougent sont des attractions qui me bousculent déjà trop. À éviter en tout cas après avoir mangé. Il faut dire que j’ai le mal des transports et ça ne s’arrange pas avec l’âge.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Je me souviens d’avoir bien ri lors d’une impro préparatoire : c’était l’histoire d’une rumeur qui circulait : les femmes se croisaient et se passaient une info qui - la onzième fois - était ‘un peu’ déformée. Il y a eu des tas de fous rires, notamment quand Cécile a dit : « Oui, les hommes ont trouvé la fonction de leurs mains. C’est étonnant, hein ? » et ça a continué : « Les hommes ont fait ça… avec leurs mains ?! »… et d’autres fous rires.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Le théâtre en amateur est un formidable moyen d’expression, de détente, de réalisation et de mise en liens, tout en restant un hobby. Dans la façon dont nous le pratiquons à l’ATO, on ne se prend pas la tête : le seul but, c’est de distraire notre public et de partager notre complicité et nos fous rires avec nos amis qui viennent nous voir. 

     

    Sandrine Vansnick Fête foraine

     

  • Fête foraine - Mélissa Copenaut

    • Le 19/09/2018
    • Dans infos

    « C’est une chouette intrigue ! »

    rencontre avec  Mélissa Copenaut

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce.Voici Mélissa Copenaut. 

    Mélissa CopenautMélissa est arrivée à l’atelier théâtre en 2012. C’était la toute première inscrite dans notre tout premier groupe ! Ensemble nous avons monté le spectacle Les MonsQuetaires, présenté en mai 2013. Mélissa est devenue une de nos amies les plus fidèles et participe régulièrement à la création de nouveaux spectacles : Bibliothèque en juin 2015, Le Petit Chaperon rouge en juin 2016 et Cappadoce en mars 2017.

    Mélissa, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants de fêtes foraines ?

    Une fois, quand j’étais adolescente, je suis allée à la foire à Mons et je suis montée dans une attraction à sensations fortes. On a été séparés en deux groupes et j’étais assise à côté d’un garçon. Quand l’attraction s’est mise en marche, j’ai commencé à crier et, sans m’en rendre compte, j’ai attrapé le bras du garçon et j’ai serré… serré de plus en plus fort. Le garçon a crié : « Mais elle est folle, celle-là ! » J’étais confuse.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    C’est faire de nouvelles rencontres, apprendre à travailler mon tonus vocal, pouvoir placer correctement mon regard…

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Il y a une séquence, Lynchage, que je trouve très violente ; bien sûr, ce n’est que du théâtre mais ça risque de heurter les gens qui se sentent concernés. Sinon, l’histoire, c’est une bonne intrigue. Les personnages sont marrants et variés. C’est une chouette pièce et je suis impatiente de jouer.

     

    Mélissa Copenaut

    Mélissa avec Nadège Florin, octobre 2017

     

     

     

  • Fête foraine - Jean-Pascal Giacometti

    • Le 14/09/2018
    • Dans infos

    « On se dit que l'humanisme existe encore »

    rencontre avec Jean-Pascal Giacometti

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce. Voici Jean-Pascal Giacometti.

     

    Jean-Pascal Giacometti Fête foraine

    Jean-Pascal a rejoint l’Atelier Théâtre des Oiseaux en 2017, il est monté sur scène pour la première fois en mars 2017 dans la deuxième comédie de l’Atelier, Cappadoce. En mars dernier, Jean-Pascal a assuré la création des accessoires et du décor et la régie pour le spectacle La Grande Tourterie.

    Jean-Pascal, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    Honnêtement, j'en ai peu, hormis les premiers paquets de frites quand nous étions gamins, mon frère et moi, accompagnés de nos parents. Ces fameux paquets de frites appelés "kangourou" parce qu'il y avait une petite poche pour y mettre la sauce. Grand progrès car avant cela, il fallait plonger les doigts dans la mayonnaise ou le pickles pour attraper la frite ! C'était chaud,et c'était l'essentiel parce que les foires avaient souvent lieu tard dans l'année, vers septembre-octobre, et il faisait déjà humide et froid. Et puis, il y avait les tirs à pipes, avec ces fameuses carabines aux guidons "gentiment" esquintés par le forain, pour que le client ne tire pas trop juste. Quand on avait compris le truc, on tirait trois ou quatre plombs pour ensuite compenser et rafler les jouets pendus hors des lignes de tir. Plus tôt encore - je devais avoir 4 ou 5 ans - c'était le manège avec ses petites voitures, ses motos, ses avions et cette maudite floche, que - soit dit en passant - j'attrapais assez souvent... Et puis, ces "attrape jetons" qui nous laissaient toujours espérer, au dernier moment, que cette montre tant convoitée allait enfin descendre de son piédestal et être à nous.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Tout d'abord une chouette aventure, que nous avons la chance, mon épouse et moi, de partager ensemble. C'est un espace de rencontres, de partage avec d'autres univers, d'autres perceptions, d'autres visions, et c'est un brassage très riche d'expériences. C'est encore un moment de fou rire, quand on ose dépasser ses propres limites, dans la joie, la bonne humeur et le respect de chacun, car nos camarades de jeu sont dans la même galère. Et puis, c'est se préparer à affronter la scène, sous le regard bienveillant de nos spectateurs, qui sont là aussi pour partager nos émotions, pour rire et sourire surtout. Comme dans toutes les aventures artistiques, c'est un apprentissage de l'autre, de soi ; comprendre qu'il n'y a pas qu'une vision du monde mais que la vie est multiple et que toutes ces vies sont dignes d'intérêt.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Eh bien, c'est encore un de ces rares moments où on se dit que l'humanisme existe encore. En effet, nous avons réussi à construire une pièce en tenant compte des désirs, envies ou limites de chacun, pour que tous nous puissions nous y intégrer, nous y amuser, y apporter notre petit grain de folie ou de fantaisie. C'est une aventure commune, faite de surprises, de grands délires : ah, cette recherche d'accessoires farfelus, les fous rires que cela provoque lorsque nous les découvrons et expérimentons. Bref, une étrange alchimie s'est mise en place, particulièrement avec ce nouveau groupe, issu de la fusion de deux équipes qui, chacune, pouvait apporter quelque chose de différent. Et le plus fou, c'est que ça marche ! Et puis, nous allons essayer un nouveau système de décor, et j'avoue que si c'est stimulant, c'est aussi un peu stressant car il est parfois difficile de construire sans avoir les supports sous la main.

     

  • Fête foraine - Chiara Cristelli

    • Le 12/09/2018
    • Dans infos

    Une passion née en Italie

    rencontre avec Chiara Cristelli

     

    Chiara Cristelli Fête foraineA l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires et découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre. Voici Chiara Cristelli.

    Chiara est entrée à l’ATO en 2015, avec son mari Roberto Carbone. Avec ses camarades de la promotion 5, elle a monté le café-théâtre PlayLab (décembre 2015). Quelques mois plus tard, elle participe à l’aventure des Valoristes (avril 2016) : l’occasion de jouer encore quelques sketchs, puis elle interprète un étrange fantôme chapardeur dans la comédie Cappadoce (mars 2017). Avec Fête foraine, elle intègre un nouveau projet.

    Chiara, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    Ces dernières années, j’ai joué plusieurs fois au tir à pipes. Parfois en Italie dans ma ville natale, parfois sur la Grand-Place de Mons. Mais je ne peux pas dire que j’aie eu beaucoup de chance. A chaque fois, je suis repartie avec un lot de consolation. Toujours des peluches ! La première fois, c’était un perroquet ; une autre fois, c’était un ours. Roberto a tenté sa chance au jeu de massacre, mais il n’a pas eu plus de chance. La seule fois où nous avons gagné, c’était aux machines à griffe en Italie. Roberto a réussi à attraper une grande peluche de Scrat, l’écureuil gourmand et maladroit du film L’Âge de Glace.

    Qu’est-ce que tu aimes dans le théâtre ?

    C’est à l’école en Italie que j’ai découvert le théâtre. J’ai été fascinée par l’atmosphère sur scène et dans la salle. L’émotion quand le rideau s’ouvre. La première fois que je suis montée sur scène, c’est avec une chorale. On a chanté dans de beaux endroits. Faire du théâtre amateur en français, c’est une tout autre aventure !

     

    Chiara cristelli fete foraine br 1

    Chiara Cristelli - PlayLab / décembre 2015 (photo: Johan Dehon)