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Les actus

  • Fête foraine - reprise

    • Le 17/10/2018
    • Dans infos

    FUCaM, nous voilà !


    Fête foraine repriseLe dimanche 21 octobre prochain, l’aventure de notre rocambolesque Fête foraine verra son épilogue dans un beau feu d’artifice avec une reprise dans les locaux de l’UCL Mons.

    Des vrais spots, de grands rideaux, un podium et quatre cents places en gradin. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça va être dépaysant. Pour cette reprise exceptionnelle, l’UCL Mons a accepté de nous ouvrir ses portes. Pour les comédiens, le challenge à relever est important. Il s’agit d’adapter à un lieu inédit les déplacements, la gestuelle et le volume vocal.

    Plus de cent spectateurs ont d’ores et déjà réservé leur place. Nous en sommes vraiment ravis ! Mais comme on dispose cette fois de 400 places, on a encore de la marge pour accueillir tous ceux qui veulent voir (ou revoir) ce grand spectacle.

    L’entrée se fera par le Chemin des Mourdreux et le parcours sera fléché jusqu’au parking. La représentation commence à 17 heures.

     

    Fête foraine - photo Jean-Claude Vansnick

     

    — Non parce que j’avais la priorité de droite, tu es bien d’accord. J’allais un peu vite, je ne dis pas, mais j’avais la priorité de droite. Même ceux qui étaient là, qui regardaient, ils peuvent le dire.

    Viviane…

    Quoi ?

    C’était juste les autos scooters, okay !

  • rencontre - Janick Daniels

    • Le 12/10/2018
    • Dans infos

    « Quand on s’amuse sur scène, le pari est gagné ! »

    Rencontre avec Janick Daniels

    Le 19 septembre dernier, dans le cadre de la préparation de notre spectacle Fête foraine, l’Atelier Théâtre des Oiseaux a reçu la visite de Janick Daniels, comédienne et metteure en scène professionnelle. Premier Prix d'Art Dramatique au Conservatoire Royal de Liège, Janick a l’habitude de travailler avec des troupes de théâtre amateur, notamment le Théâtre de l’Hétéroclite et le Théâtre d’Appoint. Elle nous a parlé de carte d’identité du personnage, de charnières, de modulations, de projection affective et de bien d’autres choses… Un coaching intense et stimulant auquel ont participé plus de vingt comédiens de l’ATO.

    Ato coaching janick daniels 20180919 2Janick, quelles sont les rencontres qui t’ont le plus marquée dans ton parcours ?

    D’abord Alain-Guy Jacob, mon professeur d’art dramatique au conservatoire de Liège. Et puis deux chargés de cours : Micheline Hardy, une comédienne qui est devenue depuis scénariste, metteure en scène et dramaturge ; et Thierry Salmon, malheureusement aujourd’hui décédé.

    En ce moment, quels sont tes projets théâtraux ?

    Je mets en scène Le tour du monde en 80 jours avec le Théâtre de l’hétéroclite de Welkenraedt Henri-Chapelle, une compagnie avec laquelle je travaille depuis dix ans. Les représentations sont prévues pour le troisième weekend d’octobre. C’est très chouette, il y a une belle énergie dans le groupe. Et pour novembre, avec le Théâtre d’Appoint (Orp-Jauche, Brabant Wallon), je monte une comédie grinçante, burlesque, cruelle, existentielle : Les funérailles d’hiver d’Hanokh Levin. Hanokh Levin est un auteur que j’adore. C’est un des auteurs les plus connus de Tel-Aviv, décédé à l’âge de 55 ans en 1999. Son écriture théâtrale est assez directe, assez crue et moi je trouve ça très drôle.

    Quel regard portes-tu sur le théâtre amateur ?

    Le propre du théâtre amateur c’est de permettre à chacun de s’essayer à cet art qu’est le théâtre. Dans le théâtre professionnel, on est censé avoir appris un métier et être engagé pour ce qu’on sait faire. Alors que dans le théâtre amateur, même si on sait pertinemment qu’une personne ne sera jamais comédien ou comédienne, ça n’a pas d’importance ; on travaille avec les différents potentiels. C’est la culture par tous.

    Quel est le meilleur conseil à donner à un comédien amateur ?

    Si les comédiens n’ont pas de plaisir, le public n’en aura pas. C’est vrai pour les professionnels, mais plus encore pour le théâtre amateur. Malgré toutes les faiblesses du jeu, quand on voit une personne s’amuser en scène (avec les autres, pas tout seul), à ce moment-là, le pari est gagné.

    D’une certaine manière, faire du théâtre, c’est une activité exigeante ?

    Il faut être assidu. Or on vit dans une société de consommation trop rapide. On perd la notion d’excellence. Les gens s’imaginent qu’en regardant un tuto sur Internet, ils seront violonistes en dix leçons. Ce qui est impossible. Ça se remarque aussi dans le théâtre amateur : il y a un moment où la troupe se décourage. Surtout quand il faut mémoriser. Les comédiens ne s’en rendent pas toujours compte mais tant qu’ils ont une feuille en main, c’est très difficile d’évoluer. Alors, on constate souvent une phase de démobilisation. Après, quand le jour J approche, il y a une pointe d’excitation, puis le plaisir immense des représentations. Et une fois que c’est terminé, on oublie toutes les galères parce qu’on a eu cette fameuse récompense du public.

    Aujourd’hui, face au développement des nouveaux médias, le théâtre est-il en déclin ?

    Non, il change. C’est normal. Le théâtre sera toujours en mutation permanente. Le brassage des cultures, ça représente un formidable enrichissement. L’interculturalité ! Il y a encore trop peu de gens qui l’acceptent mais il faut pouvoir donner et recevoir… et découvrir ce qui va se créer de nouveau grâce à ce partage. On ne peut jamais rester sur un acquis. On ne se dit pas: "je sais !" mais au contraire: "j’ai de la chance parce qu’il me reste encore du chemin à parcourir… avec des découvertes que je ne peux même pas encore entrevoir". C’est ça qui est passionnant.

    Propos recueillis par Jérémie Brasseur

     

    Ato coaching janick daniels blog br

     

     

  • Fête foraine - Cécile Biefnot

    • Le 10/10/2018
    • Dans infos

    « une parenthèse enchantée dans le quotidien »

    rencontre avec Cécile Biefnot

    Cécile biefnot

    A l'occasion de notre spectacle Fête foraine (reprise le 21 octobre prochain - 17 h - à l'UCL Mons), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre. Voici Cécile Biefnot.

    Cécile est arrivée à l’ATO l’an dernier. Avec ses camarades de la promotion 10, elle a monté le café-théâtre Comptines bancales (mai 2018). A cette occasion déjà, elle a interprété différents rôles dans les sketchs Banc de hammam ; Banc de cour d’école ; Le Monstre ; Banc de touche. Cécile fait parler les ours en peluche comme personne et n'a pas peur de tenir des rôles extrêmement variés.

    Cécile, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    Les foires évoquent pour moi un souvenir olfactif : barbe-à-papa, pommes d’amour, croustillons. Se mêlant au bruit de musique tonitruante, d’appels des forains aux micros, etc. Et surtout, mon papa qui tirait au fusil à plombs pour nous gagner des peluches !

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Juste une parenthèse enchantée dans le quotidien !

     

    Cécile Biefnot

     

     

     

     

  • Fête foraine - programme

    • Le 05/10/2018
    • Dans infos

     

    Fête foraine

    Demandez le programme !

     

    affiche Fred Tomisinec

    Demandez le programme de notre nouveau spectacle Fête foraine... Ou plutôt servez-vous. Vous pouvez le télécharger  - tout en couleur ! - sur notre page Nos spectacles.

    L'accès rapide ? C'est par ici.

    Fête foraine photo de groupe

    Fête foraine, comédie de l'Atelier Théâtre des Oiseaux / représentations à la Maison de Quartier de Mons les 5, 6 & 7 octobre 2018 / reprise le 21 octobre 2018 à l'UCL Mons / texte de Jérémie Brasseur / mise en scène de Sandrine Vansnick et Jérémie Brasseur / avec Catherine Beerens, Cécile Biefnot, Isabelle Blanquet, Elodie Blauwart, Céline Brasseur, Roberto Carbone, Joseph Cau, Jossia Collard, Mélissa Copenaut, David Courselles, Chiara Cristelli, Marc Delvigne, Fanny Duray, Marie-Bérengère Etienne, Nadège Florin, Jean-Pascal Giacometti, Nathalie Mauroy, Nathalie Nihoul, Amandine Rzonca, Catherine s’Heeren, Olivier Vandernoot, Sandrine Vansnick / affiche de Frédéric Tomisinec / décors de Jean-Pascal Giacometti

     

  • Fête foraine - Catherine Beerens

    • Le 03/10/2018
    • Dans infos

    « Essayez, c’est vraiment enrichissant ! »

    rencontre avec Catherine Beerens

     

    Catherine Beerens Fête foraineA l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce. Voici Catherine Beerens.

    Catherine est arrivée à l’ATO l’an dernier. Avec ses camarades de la promotion 10, elle a monté le café-théâtre Comptines bancales (mai 2018). A cette occasion déjà, elle a interprété différents rôles dans les sketchs Ainsi font les petites marionnettes ; Meunier tu dors ; Banc solaire ; Banc de touche. Catherine est aussi très douée dans la fabrication de barbe-à-papa en pure ouate et dans la confection de robes de marionnettes à taille humaine.

    Catherine, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    J’adorais ! Mais à l’âge de 10 ans, je me suis cassé le nez dans les autos-scooters. J’en garde une bosse sur le nez. Et je ne suis plus jamais allée sur ce manège.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?
    Des rencontres, des défis, de l’enthousiasme, un exutoire d’émotions. Que du positif... Essayez, c’est vraiment enrichissant.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Un grand groupe, une belle histoire, de beaux textes, un éventail d’humour et d’émotions. J’espère être à la hauteur du défi.

     

    Catherine Beerens Fête foraine

     

  • Fête foraine - Roberto Carbone

    • Le 28/09/2018
    • Dans infos

    « Le théâtre peut aussi m'aider à améliorer mon français. »

    rencontre avec Roberto Carbone

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et le 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce.Voici Roberto Carbone. 

    Roberto Carbone - Fête foraineRoberto est arrivé à l’Atelier Théâtre des Oiseaux en 2015, avec son épouse Chiara. Avec ses camarades de la promotion 5, il a monté le café-théâtre PlayLab (décembre 2015). Quelques mois plus tard, il participe à l’aventure des Valoristes (avril 2016) : l’occasion de jouer encore quelques sketchs, puis il interprète un touriste amoureux de son téléphone portable dans la comédie Cappadoce (mars 2017). Avec Fête foraine, il intègre un nouveau projet.

    Roberto, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants de fêtes foraines ?

    Je me souviens que lorsque j'étais un petit enfant, j'avais très envie de prendre le fusil au stand "tir à pipes", l'année dernière mon épouse a gagné un cadeau avec ça. Jeune étudiant du lycée, je me rappelle un truc comme la Balançoire diabolique qu'il y a dans la pièce... ça m'avait détraqué l'estomac. Globalement, ça me fait toujours plaisir de faire un tour sur une fête foraine.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Faire du théâtre amateur me permet de me détendre, de m'amuser, d'oublier les soucis de la maison et du bureau et, au fur et au mesure, ça peut peut-être devenir une passion.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Pendant la préparation de Fête foraine, j'ai eu l'occasion de retrouver des anciens camarades mais aussi de faire de nouvelles rencontres ; des gens qui ont la même passion que moi, et aussi, comme je suis italien, j'espère que j’améliore un peu mon français.

     

    Roberto Carbone - Fête foraine

  • Fête foraine - Fanny Duray

    • Le 26/09/2018
    • Dans infos

    « Le théâtre amateur offre la possibilité de ne pas être soi-même… »

    rencontre avec  Fanny Duray

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce.Voici Fanny Duray. 

    Fête foraine - Fanny DurayFanny est arrivée à l’Atelier Théâtre des Oiseaux l’an dernier. Mais son intérêt pour le théâtre est bien plus ancien : « En 3e secondaire, se souvient-elle, notre professeur de français nous a mis au défi d’apprendre puis d’interpréter, sur scène, le monologue de L’Avare de Molière ainsi que La partie de cartes de Marcel Pagnol. » Avec ses camarades de la promotion 10, elle a monté le café-théâtre Comptines bancales (mai 2018). A cette occasion déjà, elle a campé une péniche irrésistible…

    Fanny, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants de fêtes foraines ?

    Lorsque j’étais petite, j’aimais m’appliquer à pêcher les canards et j’étais souvent déçue de constater que les gros canards n’étaient pas toujours ceux qui affichaient le plus de points. Je me rendais également au stand de "bouffe-balles" bien que les visages de ces bonhommes mangeurs de balles me paraissaient effrayants. Les maisons hantées attisaient ma curiosité mais par manque d’audace, ce qu’elles cachaient restait pour moi un grand mystère. Maintenant que je suis une grande fille, les fêtes foraines s’apparentent plus à un rendez-vous gastronomique : pommes d’amour, barbes à papa et autres beignets ont remplacé la pêche aux canards.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Je décrirais le théâtre amateur comme un art aux bienfaits multiples : tantôt thérapeutique pour ceux qui n’aimaient pas prendre la parole en public avant de commencer l’aventure, tantôt libérateur pour d’autres qui cherchaient un exutoire au stress du quotidien. Ce qui est merveilleux, c’est qu’au final chacun en tire une certaine satisfaction. Ce que j’aime particulièrement dans le théâtre amateur, c’est qu’il offre la possibilité de ne pas être soi-même : camper divers rôles, adopter des accents, se retrouver dans des situations plus cocasses les unes que les autres… au théâtre tout est possible !

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Après la magnifique aventure de Comptines bancales, je ne pouvais me résoudre à abandonner les copains et renoncer au projet Fête foraine. Toutefois, les règles du jeu changent : il s’agit cette fois d’une pièce de théâtre qui compte une vingtaine de comédiens. Petit à petit, on finit par s’habituer aux textes collectifs, au grand nombre de comédiens et on partage la scène avec de nouvelles personnes. C’est un nouveau challenge !

     

    Fête foraine - Fanny Duray

    Fanny avec Marc Delvigne - Comptines Bancales (mai 2018)

     

  • Fête foraine - Sandrine Vansnick

    • Le 21/09/2018
    • Dans infos

    Co-animatrice et comédienne

    rencontre avec  Sandrine Vansnick

     

    A l’approche de notre spectacle, Fête foraine (les 5, 6 & 7 et le 21 octobre prochain), nous publions une série de portraits de comédiens. Allons à leur rencontre pour évoquer leurs souvenirs de foires, découvrir ce qui les pousse à faire du théâtre… et recueillir quelques confidences sur la préparation de cette nouvelle pièce. Et cette semaine, c’est Sandrine Vansnick, co-animatrice de l’atelier, qui a bien voulu répondre à nos questions.

    Sandrine Vansnick Fête foraineAu mois de mai dernier, alors qu’on préparait ce spectacle, Sandrine a réalisé un véritable reportage-photo à la Foire du Trône à Paris : « C’était immense, on s’y serait perdu. Je n’imaginais pas tout ce qui existait comme manèges. Ça part dans tous les sens : dans l’eau, dans les airs, dans les véhicules les plus improbables et dans des décors très soignés. Il y avait aussi de nombreuses baraques qui proposaient toutes sortes de crasses colorées et appétissantes, je me suis laissée tenter par une glace italienne. »

    Sandrine, est-ce que tu gardes des souvenirs marquants des fêtes foraines de ton enfance ?

    Au carnaval d’Haine-Saint-Pierre, j’aimais aller sur la chenille et à la pêche aux canards. Dans un parc comme Disneyland par exemple, je me suis toujours contentée des attractions pour enfants. Une fois, il y a très longtemps, j'ai accepté de monter dans le Space Mountain : quelle inconscience ! la photo prise par l’appareil automatique en dit long sur la manière dont j’ai vécu l’expérience... Les tasses qui tournent ou bien le cinéma dont les sièges bougent sont des attractions qui me bousculent déjà trop. À éviter en tout cas après avoir mangé. Il faut dire que j’ai le mal des transports et ça ne s’arrange pas avec l’âge.

    Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’aventure de cette Fête foraine ?

    Je me souviens d’avoir bien ri lors d’une impro préparatoire : c’était l’histoire d’une rumeur qui circulait : les femmes se croisaient et se passaient une info qui - la onzième fois - était ‘un peu’ déformée. Il y a eu des tas de fous rires, notamment quand Cécile a dit : « Oui, les hommes ont trouvé la fonction de leurs mains. C’est étonnant, hein ? » et ça a continué : « Les hommes ont fait ça… avec leurs mains ?! »… et d’autres fous rires.

    C'est quoi pour toi faire du théâtre amateur ?

    Le théâtre en amateur est un formidable moyen d’expression, de détente, de réalisation et de mise en liens, tout en restant un hobby. Dans la façon dont nous le pratiquons à l’ATO, on ne se prend pas la tête : le seul but, c’est de distraire notre public et de partager notre complicité et nos fous rires avec nos amis qui viennent nous voir. 

     

    Sandrine Vansnick Fête foraine

     

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