SUPERstitieux - Joseph

Super Joseph

 

Joseph CauEn octobre, l’Atelier Théâtre des Oiseaux présente son nouveau café-théâtre, SUPERstitieux, un spectacle écrit et interprété par la promotion 13 de l’atelier d’initiation au théâtre amateur. Les comédiens de l’équipe se sont confiés sur les raisons qui les ont amenés à se lancer dans le théâtre et leur rapport aux superstitions. Voici Joseph Cau, le comédien qui n’en est plus à son coup d’essai.

Joseph, depuis combien de temps es-tu à l’Atelier Théâtre des Oiseaux ?

Je suis arrivé à l’ATO en janvier 2017. Avec mon premier groupe (promotion 9), on a monté le café-théâtre Faut te faire un dessin ? (décembre 2017). Et puis, ça s’est enchaîné très vite : La grande Tourterie (mars 2018), Fête foraine (octobre 2018), Tranches de Maillard (décembre 2018), Des Files & Vous (mars 2019) et Parc Montines (mai 2019).

Et d’une manière générale, cela fait longtemps que tu joues la comédie ?

Je n’étais jamais monté sur scène auparavant… mais après tout, la vie est un grand théâtre !

Mais à proprement parler, tu n’es dans le théâtre que depuis trois ans…

Pas tout à fait parce que quand j’étais plus jeune, j’ai travaillé au Théâtre de Mons. J’étais machiniste avec une spécialisation comme cintrier. Le cintrier, c’est celui qui travaille dans les cintres (c’est-à-dire à vingt mètres au-dessus de la scène) ; pendant le spectacle, il descend et remonte, par un système de contrepoids, les différents décors (pendrillons, fonds de décors, grands accessoires, parfois même des comédiens, etc.), et ce sur un plan de travail chronométré. Ça me plaisait bien, ce boulot. Il ne fallait pas se tromper. Le théâtre, c’est un monde particulier : dès qu’on y entre, on se sent vraiment ailleurs…

 

SUPERstitieux ATO octobre 2019

 

Dans ce spectacle, l’équipe interprète quatre sketchs de Joseph : Si la cloche sonne, Noël des animaux, Toucher du bois et Un couteau pour César.